Les années 1850 à 1913, ère des progrès et découvertes

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caractéristiques. Un bureau des méthodes composé d’ingénieurs va élaborer de façon minutieuse le travail pour le découper de façon que l’ouvrier réalise les mêmes gestes afin d’augmenter la productivité au maximum et que chaque tâche soit effectuée de la façon la plus optimale. L’ouvrier n’a pas plus besoin de réfléchir, sa formation se limite simplement à savoir effectuer les gestes qu’on lui demande de faire qui ont été préalablement réfléchi pour être les plus efficaces possible. Le travail de l’homme va s’adapter aux machines qui apparaissent dans l’industrie. Les ouvriers seront motivés par une rémunération plus généreuse en contrepartie des conditions de travail éprouvantes.

Le travail à la chaine se base sur le Taylorisme et sera mis en place dans les usines automobiles Ford qu’on appelle le Fordisme, s’inspirant des abattoirs de Chicago qui avaient déjà appliqué le Taylorisme. Les produits sont standardisés et produits à la chaîne et en grande quantité, le salaire des ouvriers sera doublé afin de lutter contre la démission dû aux conditions de travail. La Ford T sera la première voiture construite à la chaine. Le fordisme va se propager à travers le monde, il sera appliqué dans les entreprises Renault assez rapidement et ce sera un facteur important pour l’avancée dans le secteur automobile à cette époque.

De même, le Fayolisme puis le Toyotisme se baseront eux aussi sur le Taylorisme. On observera que Taylorisme et le Fordisme vont révolutionner l’industrie où la productivité et la croissance des entreprises deviendra obsessionnel.

(source : http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/10/07/le-fordisme-privilegiait-les-ouvriers-au-detriment-des-consommateurs_3491077_3234.html)

Hors du contexte de la seconde révolution industrielle cette-fois ci, Becquerel découvre la radioactivité et plusieurs scientifiques comme Pierre et Marie Curie font d’importants travaux

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