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L'ouvrage intitulé Religion et Piété à Rome

Par   •  23 Avril 2018  •  1 003 Mots (5 Pages)  •  473 Vues

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veulent rester bloquer « aux origines » c’est-à-dire à leurs commencement, malgré leur propre évolution historique, pour y gagné peut-être une quelconque pureté qui serait l’essence même de la religion.

L’historien prolonge son analyse en disant aux lignes 6 et 7, que « ces mouvements » oublient de tenir compte de ce qui a existé et c’est formé depuis des siècles, et ainsi l’extraction c’est-à-dire le retrait de l’ensemble de livre religieux, de loi, de règles propre à chaque église, comme les canons religieux, l’auteur veut par exemple faire référence aux canons biblique qui désignent l’ensemble des textes considérés comme sacrés ayant conduit, sur plusieurs siècles, à l’établissement de la Bible, s’ajoute aussi des canons des d’Églises, comme les églises latines ou grecques, ainsi John Scheid emploie le terme de « tradition réinventée », en poursuivant à la ligne 8 avec affirmation que cette dernière ne rend pas compte à l’époque contemporaine de la véritable tradition religieuse qui a évoluée à travers de nombreuses périodes historique.

Dans le second paragraphe que l’on peut considérer comme la deuxième partie des pages extraites de ce livre, on s ’aperçoit

Dans la première phrase lignes 9,10 et 11 [Étudier....communautés religieuses.] , que l’auteur nous fait un bref descriptif de ce qu’est l’étude du patrimoine religieux, on peut donc y voir tout simplement le travail d’un historien chercheur spécialisé, ou le travail d’un théologien et enfin le travail aussi de conservation des différentes sources.

Dans la seconde phrase, lignes 11 à 15, John Scheid poursuit son compte rendu des différentes sources de documents religieux en les énumérant, en émettant me semble-t-il une légère critique puisque selon lui, les copies, les traductions ainsi que les différents commentaire qui joignent souvent les textes anciens, ne rendent pas service à tout un chacun si elles sont mal appréhendées ou étudiées puisque selon lui « ils mettent à la dispo... le meilleur texte possible de ces documents fondateurs » pour les principaux intéressés, cela va des historiens spécialiste comme des non-spécialistes, mais aussi pour le publique, rendant donc ainsi un texte plus épuré et acceptable pour le plus grand nombre.

Dans Les lignes qui suivent, 15,16 et 17, l’historien nous indique d’autres sources un peu plus directes voir vivantes puisqu’il s’agit des traditions orales, qui sont une façon de préserver et de transmettre l’histoire de génération en génération, s’ajoute à ça les monuments archéologiques, qui font parties des sources les plus sures ,  ce  sont  des  témoignages  quasiment irrécusables, et qui selon lui préservent de la destruction à la fois intellectuelle et matérielle « d’inestimables éléments du patrimoine religieux et culturel ».

Dans les dernières lignes, 17,18,19 et 20, John Scheid nous explique que l’utilité des chercheurs historien au delà du fait qu’ils étudient et dégagent des réponses explicatives car contrairement aux non-spécialistes, eux sont beaucoup mieux outillés d’un point de vu matériel, intellectuel et aussi scientifiquement parlant, ils peuvent ainsi sauver et préserver le patrimoine.

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