Une géographie universitaire France-Brésil , analyse des Accords Capes- Cofecub.

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Résumé de l’article

Une géographie universitaire France-Brésil , analyse des Accords Capes- Cofecub.

Cet article français fait une étude scientifique de la coopération universitarie France- Brésil et de son rapport bilatéral de recherche, étude parue en ligne le 11 avril 2011 et conduite par Hervé Théry. Cet auteur fait état d’un épisode marquant comme la fondation de l’Univerisité de São Paulo (USP) en 1934 qui a developpé la naissance de L’asssociation des géographes brésiliens ( AGB).

Cette collaboration est un instrument qui joue aussi un rôle essentiel entre deux organismes, (la collaboration ) gèrent d’un part la Capes ( Coordination pour le perfectionnnement du Personnel de l’Enseignement Supérieur ) attaché au Ministère de l’Éducation brésilienne et d’autre part , le Cofecub (Comité Français d’èvaluation de la Coopération Universitaire et Scientifique avec le Brésil) .

D’abord , ces accords géografiques furent définis entre les grands pôles scientifiques des deux pays par une étude statistique et cartografique aux échanges de coopération franco-bresilienne, signé en 1979 dont le but est des échanges de haut niveau entre ces deux pays. Par ailleurs, le programme Capes-Cofecub a permis d’organiser 524 missions en 2007 . En janvier 37 sur le total des projets en cours (16 ayant commencé en 2006, 33 en 2007 et 34 en 2008). La tutelle (le financement) était assurée par le Ministère des Affaires étrangères et europénnes et le Ministère de L’enseignement Supérieur et de la Recherche.

La période 1979-2009 a commemoré les trois décennies des accords de coopération universitaire franco- brésilienne. Cet événement important pour confirmer la puissance douce de la France, d’après le président de la Capes, Jorge Guimarães, classe le début du programme comme « modeste et asymétrique », puisque c’étaient surtout les Brésiliens qui allaient en France. Il voit dans ce qui arrive aujourd’hui un « moment plus symétrique », et se réjouit de l’équilibre qui s’est installé dans les échanges de chercheurs entre les deux pays. Il a indiqué que le nombre des boursiers brésiliens qui choisissent d’étudier en France, par le biais du programme de coopération, dépasse celui des boursiers à destination des États-Unis. L’année dernière, 1 192 étudiants brésiliens ont reçu des bourses d’étude pour aller en France, contre 946 pour les États-Unis.

Le programme est ouvert à tous les champs disciplinaires, chaque projet devant permettre une collaboration sur un projet scientifique commun afin de former des docteurs brésiliens. Le responsable du projet doit être

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