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Shrinking cities

Par   •  6 Juillet 2018  •  2 477 Mots (10 Pages)  •  361 Vues

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Ce phénomène de décroissance des villes est également visible à une plus grande échelle, l’échelle européenne.

- L’échelle européenne

- Les Shrinking Cities européennes

Sur le planisphère du document 6, nous avons pu voir que le l’Europe était la zone la plus touchée par le phénomène de décroissance des villes, en effet ceci s’explique par le fait que c’est en Europe que la révolution industrielle c’est amorcé au 18ème siècle et a vu l’essor de la classe ouvrière ainsi qu’une économie fortement basée sur l’industrie. C’est ce qui explique que le la désindustrialisation est forte en Europe et qu’elle a un fort impact sur les populations.

Le document numéro sept qui est une carte axée sur l’Europe ce document présente les différents types de décroissance que connaissent les villes, elle nous montre également qu’il existe également des régions complètes qui sont en décroissance, on remarque que les pays les plus touchées par cette décroissance sont les pays d’Europe de l’Est (les pays héritier de l’ancien bloc soviétique) ainsi que l’Allemagne qui est très fortement touchée. Le document met en avant plusieurs types de déclin des villes par exemple l’augmentation de la population des périphéries des zones urbaines tandis que la population des centres villes diminue, ceci illustre un phénomène de suburbanisation, c’est-à-dire un développement des banlieues. Où bien au contraire il existe un phénomène de décroissance des banlieues et de croissance des centres. La limite de cette carte est qu’elle se limite au pays de l’Union européenne et qu’elle aurait dû être étendue. Comme dis plus haut c’est l’Allemagne la plus touchée qui elle à cause de la désindustrialisation qui abaisse son potentiel ainsi que sa compétitivité.

Document qui illustre bien cette perte de compétitivité, cette perte de potentiel, le document 8 qui est une photographie d’une ancienne friche industrielle abandonnée de Leipzig en Allemagne. Ce document illustre bien que la désindustrialisation a fait perdre à la ville tout son potentiel. Les bâtiments sont totalement abandonnés, la nature commence à reprendre ses droits sur ce lieu signe d’un abandon non récent. Ce document montre également, par le fait que la friche est laissée à l’abandon et n’est à la place pas détruite, que la ville est incapable ou n’a pas les moyens humains et économiques de reconvertir son activités ce qui réduit fortement son attractivité. Certaines villes ont essayé de se servir de se passé industrielle pour en faire une attraction touristique basé sur le passé industrielle mais cela ne fonctionne pas fortement.

Une autre raison qui permet le déclin urbain en Europe et notamment en Allemagne ou ailleurs dans le monde comme au Japon, outre la perte de compétitivité, c’est le déclin démographique.

- Le déclin démographique

En Europe c’est la principale raison du déclin urbain, le cas de l’Allemagne est le plus pertinent ici. Le document numéro 5 nous amène une nouvelle fois à Leipzig mais cette fois ci à travers un graphique présentant les composantes démographiques à Leipzig entre 1999 et 2004, c’est un document publié en 2007 par l’« Amt für Statistik und Wahlen ». Le fait le plus marquant sur ce document est que la tendance des naissances est inférieur à la tendance de mortalité est plus élevé. Le nombre de mort étant plus élevé que le nombre de naissance la population ne peut donc pas être renouvelée et ceci conduit indéniablement à la diminution de la population. Il faut tout de même noter que le taux de décroissement naturel à diminué en 2004. Ce graphique rend compte de la situation de Leipzig mais il peut s’appliquer au reste de l’Allemagne qui est connu comme étant un pays vieillissant. Cette baisse de la population s’explique par des traditions culturelles, mais est également touché par la désindustrialisation.

Nous avons donc vu dans cette partie que la principale cause du déclin urbain en Europe était la baisse de la population, mais qu’encore une fois la désindustrialisation jouait un rôle des plus importants dans cette décroissance des villes Européennes.

- L’échelle Nationale : le cas de la France

- Tendance de décroissance en France

Il nous faut ici utiliser le document numéro 1 qui est une carte de la France métropolitaine qui présente la géographie de la décroissance en France entre 1990 et 2011. Ce document est émis par l’Institut National des Statistique et Etudes Economiques. Ce document nous renseigne sur l’emplacement géographique des aires urbaines en décroissance mais il est également car il nous montre également les aires urbaines qui au contraire croissent. Ainsi sur ce document on remarque que les villes qui connaissent un taux de croissance nul voir négatif ou alors qui connaissent un taux de croissance annuel très faible (moins de 0,5%) se situent surtout dans le Nord, Nord-Est ainsi que dans le massif centrale. Encore une fois ces zones sont liée au passé industrielle de ses régions notamment le Nord de la France anciens bassin minier et sidérurgique. Ce document nous montre également que les villes les plus touchées sont les villes moyennes, les grandes villes semblent épargnées par la décroissance, sans doute car elles ont su reconvertir leurs activités ou comme dit dans une partie précédente qu’elles bénéficient d’institutions politiques, culturelles et économiques qui les rendent attractif. On peut donc dire que nos villes moyennes n’ont plus d’avantages comparatifs. Ceci nous amène au deuxième aspect du document, ou l’on remarque que les villes qui se développent sont en générales des grandes agglomérations. Il y un phénomène de métropolisation mis en avant par le document, mais on voit également que les littoraux attirent et ici le phénomène de littoralisation est mis en avant. Les villes qui ont un taux de croissance supérieur à 1% sont pour la plupart situé sur les littoraux sinon sont déjà des grandes villes à l’intérieur du territoire. Il faut noter également la croissance des villes frontières.

La perte de potentialité dans les villes moyenne s’explique aussi par la migration de ses diplômés et des populations non ouvrières.

- La décroissance par la mobilité des populations

Pour cette partie il faut utiliser de façon combiné les

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