Le territoire français

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Pour continuer,nous pouvons enchainer l’étude du territoire français par la prise en compte des contraintes, qu’elles soient naturelles ou d’origine humaine.

Premièrement, la société française est devenue « mobile ». On souligne ici le fait que la mobilité est devenue une priorité de nos jours, notamment avec les résidences pavillonnaires, souvent situées loin des villes centre.

Le territoire est composé de plaines et de montagnes. Aujourd’hui, les déplacements a travers le territoire sont nombreux. Divers moyens de transport permettent de satisfaire les besoins de mobilité des populations. Mais, de multiples contraintes naturelles vont a l’encontre de cette mobilité. Par exemple, les hautes montagnes empêchent la construction d’infrastructures de transport telles que le train ou bien l’autoroute. Dans ces cas, il faut trouver des solutions comme contourner les obstacles ou bien les traverser a l’aide de tunnels.

De plus, les contraintes peuvent aussi être liées au climat. Par exemple, dans les régions fortement enneigées l’hiver, la neige rend la circulation difficile et le froid peut endommager les routes. Ou bien, dans des endroits facilement inondables, il est possible qu’un cours d’eau déborde et cause la fermeture d’une route. Pour parer a cela, il faut faire preuve de réactivité face a ces contraintes. Ainsi, l’Homme a su s’adapter en prenant des mesures préventives comme saler les routes avant de grosses chutes de neige, réparer les autoroutes ou encore, prévoir une route de secours a utiliser en cas de fermeture d’un autre axe de communication.

Par ailleurs, la France d’outre-mer connait une contrainte similaire, celle de l’éloignement de la métropole. Cette contrainte réduit également l’accessibilité a la métropole. Prenons pour exemple la Polynésie française. Cet archipel est situe a plusieurs milliers de kilomètres de la France et surtout, a dix Fuseaux horaires de la France métropolitaine. Cette distance, non seulement physique, mais aussi « horaire » ne facilite pas les échanges entre les deux parties du territoire.

Deuxièmement, la France doit faire face a des risques naturels. Ces risques prennent en compte les aléas naturels des milieux et la vulnérabilité qui y est liée.

Tout d’abord, du fait de son étendues très vaste, le territoire français doit faire face a tous les risques naturels présents sur Terre. Ceux-ci sont présents en grande partie dans les territoires d’outre-mer. En effet, la situation géographique de ces espaces est le cadre de nombreux aléas climatiques. Par exemple, chaque été les Antilles connaissent une période marquée par de nombreux typhons; l’ile de la Reunion doit faire face a un risque volcanique avec le piton de la Fournaise, volcan de type effusif toujours en activité. La proximité de chevauchements tectoniques exposent ces régions a des risques sismiques.

Toutefois, des risques naturels sont également encourus en France métropolitaine. Le long de la façade maritime Atlantique est particulièrement exposée aux risques d’inondation ou de raz de marrée. Par exemple, la tempête « Xynthia » ayant frappé la Vendée a engendré des inondations, causant des dégâts matériels importants et des morts. Aussi, certaines régions situées en métropole présentent des risques sismiques non négligeables, notamment en région montagneuse. En outre, le débordement des eaux est un autre risque existant en France.

Par ailleurs, certains risques sont accrus par la présence humaine. En France, 23 500 communes sont exposées a des risques naturels. Ceci nous montre que l’Homme accroit la vulnérabilité dans des zones comportant des aléas naturels. Pour lutter contre ces risques, il faut réduire la vulnérabilité ou bien trouver un moyen de contrer les aléas. Mais l’absence de prévention, de contrôles et d’entretien des structures protectrices ne font qu’aggraver la situation.

Troisièmement, on peut se pencher sur une potentielle surexploitation des milieux. Dans certains milieux, la présence de ressources minérales ou de projets d’aménagement peuvent conduire a une surexploitation de ces milieux.

Pour commencer, on peut parler de projets massifs d’aménagements tels que des aéroports, des voies ferrées ou bien des autoroutes. Prenons comme exemple la vallée de la Maurienne. Ce point de passage stratégique est aujourd’hui emprunte quotidiennement par des milliers de véhicules. Ce traffic intense cause une pollution atmosphérique importante, ce qui nuit fortement a l’équilibre naturel de ce milieu. De plus, le tunnel du Frejus a cause une pollution importante durant sa construction a cause du dégagement de poussière, alors répandue dans la vallée.

Ensuite, on peut parler de l’étalement urbain. Ce dernier fait que la ville s’étend jusque sur des milieux, jadis intouches par l’Homme. L’étalement urbain amène des routes et donc du bruit.

Puis, certaines régions, comme la Nouvelle-Calédonie ou la Guyane, possédant des ressources naturelles sont exploitées. L’extraction de ces ressources dégage une certaine pollution atmosphérique mais peut aussi entrainer une stérilisation des sols. Cette problématique soulève des avis favorables car l’exploitation minière est source de profit et d’emploi.

Pour résumer, on peut dire que le territoire français doit faire face a des contraintes naturelles. ces contraintes recouvrent a la fois les obstacles que posent les milieux et les risques naturels, d’ailleurs souvent aggraves par l’homme. Si certaines sont gérées, d’autres sont mises de cote.

Pour finir,nous pouvons nous intéresser a comment valoriser les atouts et comment gérer les contraintes du territoire français. Aujourd’hui se pose la nécessité de gérer durablement les potentialités comme s’impose celle du dépassement des contraintes et de la prévention des risques.

Pour commencer, le territoire français cherche a valoriser ses multiples atouts multiples. Le territoire veut s’arrimer a la mondialisation.

Tout d’abord, une grande prédominance des plaines a permis le développement de cultures. Ici, les terres agricoles se rendent utiles. Par exemple, au Sud de Paris, de grands bassins agricoles ont étés aménagés pour produire du blé en masse. On peut alors parler d’agriculture productiviste. Ces activités s’inscrivent dans un cadre économique.

Par ailleurs, le territoire français est dote de paysages remarquables. Mais ces atouts n’ ont été mis en valeur que tardivement. On peu citer ici la cote d’Azur, mise en valeur

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