L'eau en Espagne

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s’approprie tout le débit d’un fleuve en eau. On peut voir par exemple sur la carte du document 3, que si l’Espagne venait à détourner l’eau à son profit, Le Portugal n’aurait plus aucune disponibilité en eau puisque leurs 4 fleuves qui coulent dans leur pays passent par d’abord dans l’Espagne.

Mais aussi, des tensions entre régions d’un même pays si une ville venait capter l’eau au détriment de l’agriculture comme je cite « […] Un plan hydraulique national prévoyait le transfert des eaux de l’Èbre vers le Levant. […] ce projet fut abrogé en 2004 par le gouvernement Zapatero qui propose de distinguer deux niveaux de gestion des cours d’eau. »

Cependant, les aménagements que l’Espagne a mis en place ne sont pas les plus optimisé car certains créent d’autre problème comme celui de l’environnement. « L’usine de Carboneras inaugurée en 2005 ne fonctionnerait qu’à 15%. […] elle produit des tonnes de CO2 et l’eau […] coute aux irrigants 50% plus cher que l’eau acheminée par conduite. » (Doc 7)

Pour conclure, une mauvaise utilisation de l’eau peut faire de celle-ci une ressource rare et d’en priver toute une population, voir une génération entière. Il est donc indispensable d’envisager des solutions durables, c’est-à-dire qu’elles permettent à tout le monde d’en profiter sur une longue période pour un prix respectable.

Par exemple, l’irrigation du goutte à goutte est une solution envisageable durable dans le temps, elle réduit le surplus d’eau consommé dans l’agriculture et n’irrigue que quand il est nécessaire (doc 10).

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