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Géographie de la chine

Par   •  3 Janvier 2018  •  3 812 Mots (16 Pages)  •  441 Vues

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2) des inégalités dupliquées à toutes les échelles et redoublées par les nouveaux rapports entre villes et campagnes

Actuelles disparités régionales sont à relier à l’intégration de l’économie chinoise dans le système mondial, c’est un héritage ancien qui remonte au moins au 19e mais qui a fortement été aggravé par l’ouverture depuis la fin des années 70. Les provinces intérieures ne connaissent un léger rattrapage que dans la deuxième moitié des années 2000, avec des premiers résultats des politiques d’aménagement du territoire.

Les régions littorales ne sont pas homogènes :

-différences du PIB comme 23 000 pour Hebei, Jiangsu 40 000, et Shanghai 73 000 yuans/hab. pauvreté Anhui avec 11 000. Rapport de 1 à 3,5 entre les régions le plus riches et les plus pauvres.

-contrastes de revenus qui augmentent dans des petites échelles, Gansu PIB/hab est 6 fois + fort dans le Lanzhou que le Lingxia qui est rurale et autonome en 2009. Hunan Changsha est 4,5 fois + fort que celui de la préfecture autonome de Xiangxi.

Le Guangdong est, échelle de région et sous région, manifeste ces changements d’inégalités. Recherche de Sanjuan sur modernisation du delta de la rivière des perles, mais aussi Boquet en 2009. → province une des plus pauvres de la chine, pas dynamique, très peu de villes, monde rural qui n’est pas aussi riche qu’au nord, qualité des sols faible et un revenu de 320 yuans. Le delta de la rivière des perles est devenu l’atelier de la chine et même considéré comme le « 5e dragon ». Ce delta a connu les plus forts taux de croissance éco dans les 20 premières années des réformes, avant c’était une région avec orientation agricole, quelques villes industrielles et commerciales come Foshan.

Le Jiangsu, au sud de Shanghai, la région du Sunan est une zone agricole riche, qui peut nourrir et demande une population agricole importante, assez riche. Industrialisation y a commence dès la révolution culturelle, avec l’envoi d’ouvriers de Shanghai et d’intellectuels rééduqués dans les villages→dvp de la consommation.

Les contrastes entre villes campagnes sont plus marqués dans les régions intérieures, dans lesquelles les villes jouent moins le rôle d’aiguillon de la modernité économique, des poches de prospérités dans les régions intérieurs comme autour des capitales de provinces. La proximité ou l’éloignement d’une ville, le réseau urbain, la connexion aux réseaux marchands expliquent en grande partie les dynamiques qui affectent aujourd’hui les campagnes chinoises.

Le monde rural déstructuré, plus en situation d’autarcie, sa connexion au réseau marchand. Décollectivisassions des terres au milieu des années 80, mais se traduit par un morcellement très fort de la terre, agriculture de toutes petites parcelles. Mécaniser, chercher à augmenter les profits individuels, encourager à partir à la ville. (Voir atlas p 52-53). Un tel décrochage témoigne d’un dynamisme qui n’est plus dans les activités agricoles ni même dans la production industrielle des entreprises des bourgs, des cantons, mais dans l’économie des villes devenues très attractrices pour les capitaux, les hommes et les savoir-faire. Le renversement tient dans le décloisonnement et dans le changement de discours qui n’est plus anti-urbain. Le décrochage des campagnes tient dans l’abandon de facto des milieux ruraux dans les trente années du régime coco.

Le régime à du subir les retombées de la transition démographique chinoise dans ses 20 premières années au pouvoir, la pression rurale était d’autant plus forte que les famines pouvaient ravager les campagnes et pousser les paysans à fuir vers les villes comme à l’issue du Grand Bon.

Les inégalités territoriales en chine se voient par l’échelle nationale entre les 3 chines mais aussi entre provinces, différences très fortes comme dans la chine littorale. Aussi à l’échelle intra provinciale ou les inégalités de revenus sont très importantes, qui s’articulent au type d’espace occupé. Et enfin les inégalités villes campagnes sont pls marquées dans la chine intérieure que sur le littoral car sous enregistrement des pops sous précarisées dans les villes.

Une des mutations majeures de la chine au 20 est la place prise par les villes, elles ont été les instruments, les pivots essentiels de la réorganisation spatiale de la chine moderne et contemporaine. Les métropoles littorales ont été les pôles privilégiés d’importation et de diffusion d’une modernité et d’un dvp mondialisés. Malgré des efforts de politique et sociale l’initiative s’est surtout concentrée sur les villes, avec par exemple la centralisation politique et planification du régime communiste.

Les villes sont redevenues les pivots centraux de la chine des réformes et les pôles côtiers sont privilégiés dans une nouvelle appropriation de l’espace chinois.

Aujourd’hui la chine est en pleine transition urbaine et voit la fin d’une prédominance numérique de son monde rural, la main d’œuvre agricole ne représentait déjà plus que 41% de la population active et elle n’était plus à l’origine que de 11% du PIB en 2000.

Les epsaces ruraux contemporains, il y a un divorce dans les campganes chinoises elles mêmes, provouqé par des dynamismes ruraux internes différents mais surtout par une inégale intégration au monde des villes et à l’éco de marché :

-anciennes campagnes périurabiens=industrialisation, équipements urbains ; et opérations immobilières

-périphéries agricoles=production en fonction du marché urbain

-espace ruraux industrialisés=intégrés à l’économie urbaine et aux marchés locaux, nationaux et internationaux, ou X des noyaux urbains

-les campganes à la marge=alimentent en hommes hommes les pôles de dynamisme éco

-espace ruraux éloignés=enclavés, mal reliés à la ville comme au marché, des espaces répulsifs et pauvres

des grandes villes aux différentes vocations territoriales :

-les grandes villes littorales, primauté de HK, Hangzhou, Fuzhou et Haikou, et le binome Dalain-Shenyang qui totalisent à elles deux plus de ½ du PIB du Liaoning, avec un niveau de dvp et d’intégration à l’économie mondiale >Dalian

-principales capitales provinciales de l’intérieur,

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