Distribution touristique

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I2.1 Les stations de 1ère générations (1880-1930)

- Villages de fond de vallée desservis par le train (Ex Chamonix) : voie de chemin de fer et route se développe.

- Espaces t. polyvalents : Lancement opération immobilière, station été et hiver. (Clientèle bourgeoise, aristocrate). Haut de vallée : alpinisme/ bas de vallée : casino, équitation. En hiver le début du ski, du patinage, (tout ce qui est liée à la glisse). En base vallée pour l’instant.

Ex Megève : ski en base vallée, patinoire, petit immeuble, restauration/ hébergement

- Initiative extérieures :

- Clientèle huppée et cosmopolite :

I.2.2 les stations de 2ème générations (année 1930-1950)

- Alpage

- Immeubles/ habitations individuel

Ex : l’Alphe d’Huez

I.2.3 Les stations 3ème générations dites « intégrés » (1960-1980) (30 glorieuse, congés payés)

- Haute-montagne

- Fonctionnalité : hébergement collectif (studios-cabines) - remontées mécaniques (« ski aux pied »)

- Un seul promoteur- aménageur

- Le « plan neige » - 1967 :

- 20 grandes stations : 150 000 lits

- Clientèle étrangère + classes moyennes Française

- Développement économique

Ex : les Arc (73) : 25 000 lits dont 5 000 sur un « front de neige » de 250m de long

- Documentaire INA 1971 :

Q1 : Quelles sont les transformations du milieu alpin ?

On a une touristification intégrale. On passe de 0 à rien.

Foyer émetteur, bassin récepteur. On développe les autoroutes, certaine monte en train.

Q2 : Comment les sociétés locales ont elle réagi à la ruée vers l’or blanc ?

Elles se sont adapté à cette ruée et en ont tiré profit. Elles n’ont pas subi.

Les gens de la bas sont les cadres.

I.2.4 Les stations de 4ème générations (depuis 1980)

- Hameaux de chalet individuels ou résidence charme (HQE)

- Concertation entre promoteurs et élus locaux.

- Labélisation : « station village »

- Lois Montagne (1985) : protection du milieu, comités de massif, économique durable

I.3 Bilan

I.3.1 Une réussite commerciale

- 218 stations 3700km de remontées mécaniques

- 54 millions de journées-skieurs dont 28ù étrangers

- Chiffre d’affaire annuel de 3 à 4 milliard d’euros pour 60 000 Equivalent Temps Pleins

- Gamme large.

I.3.2 un modèle cependant discutable

- Coût environnemental

- Rentabilité inégale

- 2 millions pour 1km de remontée, 15 pour un téléphérique

- Obsolescence

- Déficit d’exploitation

Le contribuable paye pour des stations alors que ce n’est pas un service public, c’est injuste pour ceux qui ne skie pas.

I.3.3 quelle est la tendance actuelle ?

- Spécialisation :

- Luxe

- Low Cost

- Clientèle locale

- Optimum T :

- Saison estivale

- Durabilité

- Acteur locaux

- Le Littoral

II.1 : Une destination touristique récente

II.1.1. Une zone de confins jusqu’au 19ème siècle

- Piraterie

- Malaria

- Littoral marginalisé sauf

II.1.2 le tourisme balnéaire, une histoire récente

- 1850-1930

- 1er et 2ème Révolution Industrielle

Ex : Cannes en 1861

- Thalassothérapie, villégiature, « sports élégants »

- 1930-1950 : saison estivale

- Héliotropisme et sports nautiques

- 1950-1980 : Tourisme de masse

- Santé et loisir

- Grand projet (ex Languedoc-Roussillon et Club Méd 1950)

- Villes touristique polyvalentes (Nice)

- Station Balnéaires spécialisées (Cap d’Adge)

II.2 le tourisme balnéaire et plaisancier aujourd’hui

II.2.1 Un secteur dynamique

- 7 millions de lits dont environ ½ marchandes

- Chiffre d’affaire 30 milliard €

- Littoraux spécialisés

- Haut de gamme : Côte d’Azur, Côte Basque et Côte fleurie

- Populaire : Languedoc-Roussillon, Aquitaine, Vendée, Bretagne et Côte d’Opale :

- Un « Produit mûr

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