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Doit-on être moins sévère envers les criminels qui ont eu une enfance difficile?

Par   •  14 Mai 2018  •  1 143 Mots (5 Pages)  •  546 Vues

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Finalement, selon moi, nous ne devrions pas alléger une peine pour cause d’une enfance déplorable, car je crois vraiment que nous sommes libres de nos choix, mais je crois aussi que si la personne prouve qu’elle n’est pas à risque de recommencer et qu’elle veut s’améliorer nous devrions l’aider plutôt que de l’enfermer à vie. D’une part, la théorie de Sigmund Freud ne me rejoint pas, car je crois vraiment qu’avec de la volonté nous pouvons nous débarrasser de nos pulsions instinctives. Je peux, par contre, comprendre que certaines personnes n’ont et n’auront jamais la force mentale de résister à leurs pulsions de morts et que, par ce fait, ils auront besoins d’aide au lieu d’être enfermé. D’autre part, je suis parfaitement en accord avec la théorie de Sartre sur le fait que nous sommes libres et que nous faisons des choix délibérément et que nous devons assumer nos erreurs. Par contre, je croix, en oubliant mes jugements de valeur, qu’il faut aider les autres sans condamné leur existence s’ils veulent s’aider. Exemple, un père a assassiné son fils en 2011. Ce dernier a passé dans la machine à laver… Le père, durant le procès n’éprouvait aucun remord et essayait de se défendre en disant qu’il a eu une enfance sévère, ceci est l’exemple type d’homme que j’enfermerais pour qu’il n’ait plus d’enfant, car il ne veut pas s’aider et il se cherche des excuses. Deuxième exemple, une criminelle nommée Alma faisait des meurtres, des vols, etc., mais aujourd’hui, elle s’est repentie et fait tout pour changer sa vie. Ceci ne pardonne pas ses actes et elle devrait payer pour ceux-ci, mais on devrait tout de même l’aider à être utile pour la société, ce qui penche vers ma pensée plus utilitariste.

En conclusion, ma thèse aborde vers l’existentialisme et l’utilitarisme, car je prône la liberté et l’utilité des gens en société, et non les excuses de l’enfance triste, car pour moi, notre volonté nous dicte. Freud, lui défend que notre inconscient nous dicte et Sartre aborde plutôt vers la théorie du libre-arbitre ou les gens doivent assumer pleinement leurs actes. Maintenant, il serait intéressant de voir une étude sur des criminels repentis, voir comment il s’en sorte en société après la prison et l’aide qu’ils ont eu.

Rocco Magnota---- http://www.lapresse.ca/le-soleil/justice-et-faits-divers/201412/23/01-4830598-luka-rocco-magnotta-condamne-a-la-prison-a-vie.php

http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/10/31/proces-magnotta-arguments-defense-temoins-schizophrenie_n_6082438.html

Sandor szonyi--- http://www.lacapitale.be/284033/article/regions/bruxelles/actualite/2012-02-17/assises-circonstances-attenuantes-pour-szoenyi

André Roy---http://ici.radio-canada.ca/regions/quebec/2016/03/09/002-andre-roy-meurtre-victor-lemay-enfance-difficile.shtml

Bastien--- http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/09/08/01016-20150908ARTFIG00379-le-calvaire-du-petit-bastien-mort-dans-une-machine-a-laver.php

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/09/08/01016-20150908ARTFIG00379-le-calvaire-du-petit-bastien-mort-dans-une-machine-a-laver.php

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