Analyse pratique alzheimer, refus de soin

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Elle m'a dit que ces personnes n'ont plus la capacité à raisonner et donc à porter un bon jugement. Je devais de ce fait entrerr dans une communication de confiance avec la personne pour que celle-ci accepte.

Elle m'a donc donné un livret expliquant la prise en charge des personnes ayant la maladie d'Alzheimer.

Après discussion et lecture du livret j'en ai retenue que pour favoriser les relations avec les personnes atteintes de maladie d'Alzheimer il faut :

- être patient et recherchez la collaboration ainsi que la confiance de la personne malade

- Recherchez le consentement dans la communication non verbale.

- être à l'écoute, rassurer et s'adapter au rythme de la personne.

- Utiliser un discours simple.

- Ne pas insister.

Et en cas de refus il faut d'abord comprendre la raison du refus, négocier avec la personne. Si elle refuse toujours, revenir plus tard car elle sera passé à autre chose et sera peut-être consentente, et par la suite passé le relais à un autre soignant qui peut avoir une approche différente de nous.

Autonomie :

Le lendemain, je recommene la distribution des traitements, je décide donc de prendre mon temps et de ne pas aborder la prise des traitements tout de suite.

Je m'installe sur une chaise à côté de la patiente, je prend le temps de discuter avec elle, la sachant tactile je pose ma mien sur la sienne pour la rassurer et je lui ai expliqué que le petit-déjeuner allait arrivé et que je venais lui donner ses traitements. Se sentant en confiance je pense, Mme. D les a pris sans aucun signe de refus.

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