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Par   •  4 Décembre 2017  •  1 147 Mots (5 Pages)  •  767 Vues

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En 1830 l’éducation des jeunes délinquants était faite par le travail c’est-à-dire que c’est jeune était éduquer à travailler afin de forger leur caractère et évoluer mais à partir de 1860 on éduque plus les enfants de la même manière. En effet les enfants sont enfermés dans des prisons. En 1890 ces jeunes auront leur peine rallongée et bien souvent ils partent pour l’armée afin de continuer leur redressement.

Ce n’est qu’à partir de la troisième république et la loi de 1912 que les enfants pourront être jugé pour leur acte mais cela ne concernera pas les enfants emprisonné dans les colonies.

Les enfants délinquants ne pourront ressortir de ses institutions qu’à partir de 1937-1938 avec de nouvelles lois misent en place.

- Comparaison de documents (20 points)

Quelles sont les idées communes à ces trois documents ? Organisez avec soin votre réponse en partant d’abord du grand thème partagé par les trois textes, puis en classant les idées à conserver par mini-thèmes communs. (il est à noter qu’en synthèse, si une idée figure dans 2 documents sur 3 ou 4, elle est déjà considérée comme une idée commune). Vous n’oublierez pas de mettre des références que vous rédigerez en utilisant tout simplement le nom des auteurs. L’exercice sera entièrement rédigé et aucun tableau ne sera accepté, cette forme n’étant pas propice à l’expression écrite.

Le thème de ces trois textes concerne l’éducation des enfants.

Nous allons abordés dans un premier temps la réalité des maisons de redressements, puis en second temps la violence engendrée qu’elle soit physique et psychique.

Les enfants mineurs ayant commis des petits délits aux grands banditismes voir criminelle et même au violeur pervers sont considérer de la même sorte, ils se retrouvent jugés comme des adultes en référence « criminels-nés » et sont donc enfermés dans les colonies pénitentiaires publiques.

Ces colonies sont en réalité des bagnes ou l’insalubrité « cages à poules grillagés » doc2 et le « ciment » doc1 sont présents. De plus on ne parlera pas d’éducateur mais de gardiens et de directeur pénitentiaire. Et enfin pour renforcer cette idée comme le dit Emmanuelle bouchez « Belle-Ile, perdu au large remportait alors la palme de l’horreur. » ce qui met en évidence l’atrocité de la chose.

Ces pourquoi dans cette deuxième partie nous allons évoquer la violence physique et psychique.

En effet la violence physique est omni présente, Jacques Prévert nous indique « les gardiens à coups de clefs lui avaient cassé les dents …laissé étendue sur le ciment » cela montre bien que les gardiens n’avaient aucune culpabilité sur les actes qu’ils pratiquaient, de plus quand cette idée est renforcée par l’autorité cet a dire le directeur de la colonie « s’il continue à fauter c’est que discipline n’est pas suffisante », allant même jusqu’à « la mort des enfants dans l’indifférence générale «doc3 ce qui renforce cette cruauté et cette barbarie.

On considère que les enfants ne sont plus des humains mais des animaux « On renforcera le dressage en intensité et en dureté » .doc2 d’ailleurs on ira même jusqu’à parler « de Bête « doc1.

Tous cela montre qu’il y a un impact sur le psychique ou règne « une peur permanente. » doc3 ou la loi du dominant dominé est accrue.

En conclusion à cette époque les enfants étaient maltraités et les autorités ne prenaient pas en compte le psychique mais depuis les années 1937-1938 les premières réformes font leurs apparitions. En effet les mineurs seront réinsérés dans un cycle « normal ».

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