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Macroéconomie L2

Par   •  22 Novembre 2018  •  1 948 Mots (8 Pages)  •  375 Vues

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- Définissez le taux d’intérêt et précisez sa fonction

Le taux d’intérêt est le prix de renonciation à la consommation présente. Pour les entreprises : taux intérêt = investissement fonction décroissante des variations du taux d’intérêt. Pour les ménages, taux intérêt détermine épargne : fonction croissante du taux d’intérêt.

Dans le modèle classique, on égalise I et S pour déterminer le taux d’intérêt.

- Demande globale influence offre globale ?

Non. Say n’exclue pas les crises sectorielles. Le modèle classique reprend la loi de Say : les produits s’échangent contre les produits. Donc pas de problèmes de débouchés, pas d’insuffisance de la demande globale. La loi de Say est cependant compatible avec des crises sectorielles. Ces crises se résolvent cependant par elles mêmes. Les secteurs à excès de D sont les secteurs ou les profits sont élevés. Ils attirent donc les ressources des secteurs à excès d’offre. Il y a donc auto régulation des marchés. Si Say envisage des crises sectorielles, il n’envisage pas de crises générale (ex : crise de surproduction).

- Donner les implications de la loi de Say

Loi des débouchés, O crée sa propre D.

- Quelle est la fonction de l’équation quantitative de la monnaie

MV = PY, Les variations de la masse monétaire se répercutent entièrement sur le niveau général des prix. Les phénomènes monétaires sont donc neutres. Ils n’exercent aucune influence sur les phénomènes économiques réels. Les classiques établissent une dichotomie (séparation) entre la sphère réelle et la sphère monétaire.

Question 2 : quel est l’impact :

- D’une augmentation du salaire nominal : hausse de w => hausse de => baisse de N => baisse de Y, du « côté court ». Excès d’offre du travail. On suppose que hausse de w est due à une intervention extérieur : par exemple l’action des syndicats imposant un salaire minimum ce qui introduit des rigidités dans l’ajustement des salaires, il n’y a pas de retour à l’équilibre. Ou cela peut être du à des modifications dans les préférences individuelles. Les ménages offrent moins de travail. Les entreprises ont donc augmenté le salaire nominal pour restaurer l’équilibre. L’augmentation du salaire réel => augmentation de N => hausse de Y. [pic 25]

- D’une augmentation du niveau des prix : n’a aucun impact sur l’équilibre. Les agents ne sont pas soumis à l’illusion monétaire. L’augmentation des prix sera totalement compensée par une augmentation du salaire nominal. Le niveau d’emploi et donc des productions reste inchangé.

- D’une augmentation de l’investissement : On est sur le marché des fonds prêtable. Investissement : demande de fonds. Une I => demande de fonds prêtable => taux d’intérêt => S. Y ne bouge pas car il dépend de N (N ne varie pas, donc Y non plus). C’est la répartition de la consommation qui se trouve modifiée. Une I => consommation de biens d’investissement qui est exactement compensée par une diminution de la consommation de biens de consommation. [pic 26][pic 27][pic 28][pic 29][pic 30][pic 31]

- D’une augmentation de l’épargne : si S augmente => baisse taux d’intérêt => I[pic 32]

Question 3 : modèle classique, situation de plein emploi : hausse de la qt de la monnaie ⬄ modifications nominales et ne modifie pas le niveau de l’emploi et de la P°

Une augmentation de l’offre de monnaie => baisse de i => hausse de I => excès de demande de biens d’investissement (EDBI) => hausse des Prix ⬄ pas d’illusion monétaire => baisse de => hausse de MD => hausse de i ⬄ au final, compensation : ∆i = ∆i’. [pic 33]

Question 4 : précisez le statut des variables :

- Exogènes : explicative mais pas expliqué par le modèle. Endogène : explicative et expliqué par le modèle.

- Ex ante : avant l’équilibre, niveau espéré // ex post : niveau d’équilibre, variable réalisé

- Nominales : on gomme l’effet prix/d’inflation.

- Autonomes : font parti de la dépense globale d’une éco mais ne se modifie pas avec le niveau de produit réel de l’économie. // Induites : dépend du niveau de produit.

- Flux : mouvements de B&S sur une période donnée. // Stocks : à un moment donné, dans un secteur précis (les actifs).

Question 5 :

1) La variable A est le stock de capital qui est fixe, c’est un indicateur du progrès technique.

2) Economie fermée, plein emploi, aucun changement ne peut apparaître. L’offre de travail (LS) égal au plein emploi. Pas d’immigration, la population ne bouge pas.

3) A = 40, marché du travail : LS=Ld

Ld = 400 * ()-2 : s =[pic 34][pic 35]

400.s-2 = 40 000 ⬄ s=0.1

⬄ N = LS = 40 000, Y = 40 * 40 0000.5 = 8 000.

4) Md/p = k . Y On détient des encaisses en vue de faire des transactions.

5) Marché des biens : I=S

- 2 000r + 1000 = 8 000r – 400 ⬄ r = 0.14

Et I = -2000*0.14+1000=720

S= 8000 *0.14 -400 = 720

- I=S = 720.

D = C+I ; D = w.LS ; = s => = 0.1 ⬄= 0.075[pic 36][pic 37]

0.075 * 40 000 = C+720 ⬄ C = 2 280.

6) Marché de la monnaie : MS=Md

2000 = .p.Y, avec Y = 8000, donc p = 0,75. [pic 38]

7) A’=80 => Ld ’ = 1600.s-2

Marché du travail : LS = Ld ’

40 000 = 1600.s-2

S’ = 0.2 (s=0.1)

Y’ = 80 * 40 0000.5

Y’

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