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Intervention de l'état et justice sociale

Par   •  20 Novembre 2018  •  1 179 Mots (5 Pages)  •  447 Vues

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Taux d’imposition : % appliqué à l’assiette. (tx progressif : taux d’imposition s’accroît avec l’augmentation du rev imposable ; tx proportionnel : taux d’imposition est unique ; impôt forfaitaire : ts les contribuables paient la même somme.)

→ Etat use de son pouvoir de redistribution pour pallier aux inégalités.

2) Produire via le S public des S collectifs pour lutter contre les inégalités

3 modèles, 3 logiques, 3 formes de la protection sociale assurée par l’état providence.

Redistribution qui peut être : horizontale dans une logique assurance - pour les ménages qui ont cotisé financé via cotisation sociale - ou verticale dans une logique d’assistance - pr les plus démunis financé via impôt - ou les 2 via le principe d’universalisme - pour tous les citoyens financé par impôts : ex. école gratuite.

III) Quels débats suscite l’intervention de l’Etat pour contribuer à la justice sociale ?

Ces politiques d’équités misent en places par l’état pour promouvoir la justice sociale sont soumises à des contraintes multiples : Quelles sont-elles ?

A) Une intervention sous contrainte

- Contrainte budgétaire :

les démarches sociales engagées par l’etat français sont réduites par l’existence d’une dette publique importante résultant de la succession des déficits publics. (ce déficit pub structurel s’explique par la crise de financement de l’état). Cela réduit donc les possibilités d’action étatique pour plus de justice sociale puisque une part importante du budget et consacrée au remboursement de la dette.

De plus les prêts à taux faibles à l’état français peuvent être remis en cause dû à sa crédibilité dans la solvabilité (cad le fait de donner confiance aux prêteurs dans sa capacité à rembourser). D’où les pol actuelles qui visent à réduire le déficit pub pour redonner confiance aux marchés.

+ crise d'efficacité : protection sociale de - en - efficace pr réduire les inégalités et résoudre les pb sociaux comme la pauvreté. Certains pensent même que l’etat serait en partie responsable de la situation, son intervention serait contre productive.

+ crise de légitimité : est légitime tout ce qui est “reconnu et accepté”. Or l’intervention de l’etat est de moins en moins reconnus. Certains pensent qu’il ft s’inspirer du modèle libéral et développer la logique caritative et ne plus faire peser cela sur l’etat (retour à l’etat gendarme).

→ Les 3 crises se renforcent mutuellement et contraignent l’intervention de l’etat providence. L’intervention de l’etat est accusé, en plus d’être inefficace d’avoir des effets pervers.

B) L’intervention de l’etat désincite-t-elle à travailler ?

“Surfeur de Malibu” : assistanat cad sur l’assistance, les prestations sociales seraient trop généreuses et désinciteraient à prendre ses responsabilités : désincitation au travail, à l’épargne, à l’investissement, à maîtriser sa fécondité.

Débat revenus universel…

- Libertaires…

… de droite : instaurer le revenus universel c’est éviter une intrusion dans ta vie privée et simplifier les choses (complexité de l’impôt qui à un coût important).

… de gauche : les individus peuvent arbitrer entre travailler et les loisirs selon leur conception de la “bonne vie” (Rawls). De plus cela évite la stigmatisation, et le labelling assistés, puisque tout le monde le détient.

- Le revenus universel est un soutien à la demande globale ?

Si revenu universel : pouvoir d’achat augmente : augmente demande : augmente production (cercle vertueux de la croissance).

Le revenus universel constitue un véritable “stabilisateur automatique” en empéchant la demande globale de chuter trop bas (“effet cliquet”).

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