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Economie industrielle cas

Par   •  20 Avril 2018  •  20 454 Mots (82 Pages)  •  498 Vues

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Troisième concept l’entreprise : L’entreprise est un acteur économique qui combine différents biens afin de produire d’autre biens ou d’autre services. Cette définition de l’entreprise fait référence à la technologie. Les nouvelles théories de l’entreprise nous définissent l’entreprise comme une organisation ou un ensemble d’agent sont reliés entre eux par des contrats. Contrats avec les apporteurs de capitaux, les actionnaires, fournisseurs et salariés.

L’entreprise est aussi un concept juridique (au niveau du droit). Il y a différent statut possible : des entreprises privées et des entreprises public. Les entreprises privée : a but lucratif ou non lucratif. Mais aussi différentes forme : SARL, SA, EURL, …

La particularité de la SA, les part de capitale sont négociables (achat, vente) et il existe une différence entre les détenteurs de la propriété d’une entreprise et la gestion de l’entreprise.

Cela pose le problème de la gouvernance des entreprises, car cela pose un problème entre actionnaire (propriétaire) et dirigeant (gestionnaire). Il peut avoir conflit d’intérêt, les actionnaires regardent la rentabilité et gestionnaire la pérennité.

Il faut pouvoir distinguer industrie, branche, secteur et filière. L’industrie en économie industrielle fait référence au marché, il s’agit de l'activité économique qui combine des facteurs de production, pour produire des biens matériels destiner aux marchés.

Le tissu industriel se découpe en branche, filière et secteur.

Le secteur d’activité a une classification de Clark (primaire, secondaire et tertiaire).

Selon l’INSEE, un secteur d’activité regroupe des entreprises ayant la même activité principale. Une branche d’activité regroupe les entreprises fabriquant le même produit principale.

Une filière d’activité est une chaîne d’activité productive complémentaire qui permettent de satisfaire un marché finale (mise à disposition du bien final).

Une filière regroupe l'ensemble des entreprises, appartenant a des branches d’activité varié, relier entre elle par un ensemble d’activité permettant d’élaborer successivement le bien finale.

3. Concurrence et politique de la concurrence

Le point de départ c’est-à-dire la première conception de la concurrence que l’on connaît, est celle qui fait la distinction entre le marché et le plan. Dans cette optique, la concurrence est un cadre de choix d’un système économique plutôt qu’un autre.

Mais la concurrence existe en dehors du choix d’un système économique. Elle est un mode d’organisation du système de l’économie de marché. Puisque l’économie de marché fonctionne sur une base concurrentielle il faut la surveiller et la réglementer. On se rend compte qu’a l’intérieur de l’économie de marché il y a différente conception de la concurrence.

La première conception de la concurrence : la conception structuraliste elle découle de celle de HARDVAD. (néoclassique)

Les éléments qui constituent la structure d’un marché permettent de qualifier ou non la nature concurrentielle de ce marché. Ce sont le nombre d'acteurs (offreur et demandeur), les caractéristiques du bien échanger (homogénéité), l’accès au marché, la technique de production, … On en déduit que le modèle idéale est le modèle de la CPP (avec maximisation du surplus collectif). Toute autre forme de marché est moins bonne que la CPP. C’est une approche structuraliste, il y a un lien entre structure et efficacité. Dans cette optique, tout type de concurrence imparfaite devient la cible d’une politique de la concurrence (pour revenir à l'idéal qui est le CPP).

La deuxième conception de la concurrence, est celle de l’école de Chicago ou de celle de l’école Autrichienne. Selon cette conception, la concurrence n’est pas une structure de marché qui conditionnerai le comportement des agents, au contraire elle est une caractéristique de l’action des acteurs économiques. Elle est un comportement des entreprises. Le monopole est le résultat d’une compétition entre les acteurs (des entreprises) qui reste efficace, car il existe une concurrence potentielle. Dans ce cas-là, la politique de la concurrence devient problématique.

La troisième conception de la concurrence est la concurrence praticable. Cette conception tente de dépasser l’approche structuraliste, en introduisant des réalités concrète des marché étudier. La CPP ne peut pas être atteinte, car il a des contraintes de marché, et donc il s’agit d’identifier la meilleure structure possible pour chaque marché, mais qui sera moins efficace que la CPP.

La politique de la concurrence européenne, est basé sur cette forme de concurrence, mais on introduit les comportements. Par-delà cette approche, peut dire lorsque la concurrence joue, joue pas, ou ne peut pas jouer.

Il y a des cas ou elle diminue (cartel, concentration de l’entreprise, rachat d’une entreprise, entente …), il est aussi possible de dire lorsque la concurrence est déloyale.

Les pionner en matière de la politique de la concurrence sont les USA. Sherman acte en 1890.

Les objectifs de la politique de la concurrence sont variables selon les époques et donc des conceptions de la concurrence.

- Un premier objectif est celui qui consiste à promouvoir la concurrence en tant que structure. Il s’agit d’établir des règles, qu’il permet de dresser une liste des pratiques interdites. C’est ce que l’on appelle une approche par les règle « per se » (pour soit).

- Le deuxième objectif qui peut être assigné à la concurrence, est de promouvoir l’efficacité économique, on retrouve l’approche de Chicago, on applique la règle de raison. On analyse les situations et effets économiques au cas par cas, et on regarde leur légalité et le bien être économique. Dans ce cas on considère que la concurrence n’est pas une fin en soit. On retrouve l’existence ou non d’une autorité de régulation.

En pratique une politique de la concurrence consiste, d’une part à contrôler les structures, d’autre part à contrôler les comportements et enfin à contrôler les aides de l’État.

Le contrôle des structures, revient à un contrôle ex-ante. Il s’agit de contrôler les fusions

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