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Bourdieu et la question biaisé

Par   •  21 Septembre 2018  •  937 Mots (4 Pages)  •  345 Vues

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Une fois que l'on a connaissance de cella on peut donc orienter nos questions en fonction du publique ciblé. C'est de la que les classes populaires tiennent leur titre de classe répressive. C'est pourtant étrange car quand on pose des questions concernant cette fois si la conservation ou la transformation de l'ordre social et non la conservation et la transformation des modes de relation entre les individues, les classes populaires sont tout de suite plus favorable à une transformation des structures sociales. Ce qui montre bien l'importance de l'ethos de classe qui influx sur la production d’opinion.

3 : L'imposition de problématique

Il y a aussi l'effet d'imposition de problématique qui est présente dans toute enquête d’opinion et qui consiste en le faite que la question posé na peut être jamais interpeller l’enquêté et donc n'as pas vraiment un opinion construit sur la question. Ci à cela on rajout le faite que la réponse n'est pas interpréter celons ça problématique mais en réalité peut servir comme un sous sondage d’opinion pour les dirigeant au pouvoir.

Bourdieu propose une alternative au sondage d’opinion, plus précisément à la façon dont ils sont formulé. Au lieu de ne laisser apparaître qu'un opinion dans la question qui pourrais guidé la réponse de l’enquêté pourquoi ne pas plutôt énumérer quelque opinion qui pourrais indiqué différente position à prendre à l’enquêté. Mais Bourdieu nous dit que par notre appartenance social on peut réussir à sortir une tendance de ce que telle ou telle groupes sociaux va prendre comme position face à une question.

Bourdieu développe un nouvelle argument, c'est celui de l'importance de notre opinion en fonction de notre intérêt sur le sujet. Il par du principe que si le sujet nous intéresse c'est que l'on veut mettre lourd dans la balance pour qu'elle penche de notre coté, on veut avoir du pouvoir sur ce domaine. Les opinions qui influx sont ceux les plus mobilisé. Il nous dit par la suite que quoi qu'il arrive nous serons toujours guidé par ce type de question car les institutions d’où sorte ces enquêtes d’opinion ne prennent pas en compte tout les paramètre nécessaire. Elles simplifient même certaine question qui ne devrait pas être résumer pour aboutir à son but principale.

Bourdieu dans ça conclusion nous dit que pour lui l’opinion publique n'existe pas du moins au sens ou les organisations de sondages et ceux qui les utilise à leur fin l'entendent. Il en dresse un portrait d’opinion comme pré-mâché, orienté, qui ne reflète pas le vrai opinion des enquêtés, on pourrais dire qu'elle les manipules.

Question d'ouverture :

- Pensez vous que le principe d'ethos de classe tienne un place aussi important dans la formation de notre opinion ?

- Bourdieu postule que toutes les opinions se valent. Êtes vous de cet avis ?

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