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Tsunami en Asie du Sud-est, 2004.

Par   •  30 Mai 2018  •  2 314 Mots (10 Pages)  •  661 Vues

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- Un bilan Lourd

Cette catastrophe aura eu un bilan lourd. Le bilan en pertes humaines est de 226 008 morts comme on peut le voir sur ce tableau de l’ONU qui représente le bilan humain de cette catastrophe naturelle. Sur le plan des pertes humaines, c'est l'un des dix séismes les plus meurtriers et le plus grave tsunami de l'histoire. Il a fait des victimes sur l'ensemble du pourtour de l'océan Indien. Suite à cette catastrophe, il y a 1.8 millions de déplacés. Il y a par conséquent 37 nationalités dont 1700 européens morts. Il y a eu aussi énormément de disparus comme on peut le voir sur le tableau. De plus, tous les morts retrouvés ont été enterrés dans des fosses communes. Sur le plan économique, Il y a 13.5 milliard d’euros déboursés pour secourir les pays en détresse. Sur le plan écologique, certains lieux ont disparus de la carte du monde.

III) De nos jours

- Conséquence sur le long terme

Cette catastrophe aura engendré aussi des conséquences sur le long terme. Premièrement, il y a eu des dégâts environnementaux même si il n’a pas affectée le milieu marin au large et les zones côtières en revanche il a détruit les récifs coralliens, les mangroves qui une forêt qui empiète sur le domaine marin, les terrains agricoles, et les plages. Mais les dommages les plus importants sont la pollution des sols par des produits chimiques déversés lors de la destruction des bâtiments, la contamination des sources d’eau potable et la salinisation du milieu. Par exemple, des traces de cadmium et d’amiante, substances toxiques et cancérigènes, ont été retrouvées dans l’eau à des concentrations pouvant représenter un danger pour l’Homme. Par contre, il n’y a pas eu de conséquence sur les espèces animales. De plus, il y a aussi eu des répercussions économiques lourdes dans certains pays comme en Thaïlande et en Indonésie qui sont les deux pays touché financièrement. En Thaïlande et en Indonésie, le tourisme est crucial pour la bonne santé économique des deux pays hors des zones touristiques très prisée ont été touché comme Phuket en Thaïlande par le tsunami donc le tourisme est une perte économique pour certains pays. De plus, il y a eu un impact économique mondial car 13.5 milliard d’euros ont été déboursées pour venir au secours de ces pays. De plus, des millions d’habitat fut détruit ou endommagée et près de 400 villages durent rayés de la carte du monde comme on peut le voir sur ces deux photos. D'un côté politique, le drame a permis par exemple de pacifier Aceh, région autrefois fermée à cause d'un conflit meurtrier qui durait depuis environ 30 ans. Ce drame a permis à la population de se calmer et ainsi organiser des élections libres. Enfin, il y a un éveil des consciences mis en application avec les mesures préventives mais on en reparlera plus tard.

- Reconstruction

Un an après cette catastrophe, la reconstruction est en cours mais prendra beaucoup de temps. La priorité a été donnée à la reconstruction sociale et économique des secteurs touchés. Donc on la reconstruction des habitats comme on peut le voir sur cette deux photos et la reconstruction des axes routiers et des zones touristiques. Cependant, l'environnement n'a pas été oublié, particulièrement dans les secteurs touristiques où ce dernier constitue un aspect non négligeable. Les plages et les fonds marins ont été nettoyés et les récifs de corail ont été reconstruits quand ils pouvaient l'être. D'un point de vue économique, le coût total de la réhabilitation, de la reconstruction en Inde, en Indonésie, aux Maldives et au Sri Lanka est estimé à environ 7,7 milliards de dollars. Par ailleurs, dans certaines régions, la reconstruction est retardée par des détournements de fonds, la corruption et la mauvaise gestion comme en Indonésie. De plus, ils restent beaucoup de personnes qui vivent dans du préfabriqué et qui attendent un toit. Pour les terres agricoles, la FAO (Organisation des Nations Unis pour l’alimentation et l’agriculture) a mis en place la remise en état des sols affectés. Pour conclure, en 2007 des responsables indonésiens et étrangers s'estimaient aux deux tiers du chemin parcouru pour la reconstruction.

- Mise en place des mesures préventives

La mise en place des mesures préventives a été mise en place après un éveil des consciences important. On a eu la mise en place des équipements pour prévoir un tsunami avec le système DART qu’on peut voir sur cette photo. Ce système contient une bouée avec un détecteur de mouvement de vague de faible amplitude avec de capteur de pression dans le fond de l’océan. Ce capteur va envoyait un signal à la bouée que la bouée va envoyait après une centrale de contrôle de tsunami et de séisme. Mais il y a un problème de cout car ces systèmes coute très cher c’est pour ça qu’on retrouve que dans l’Océan Pacifique mais depuis le tsunami 2004, on peut en retrouver dans l’Océan Indien. Il y a le sismographe aussi qui sert à capter l’onde d’un séisme et donc anticiper le tsunami qui va se produire si celui-ci se passe dans le milieu marin. D’autres équipements existent mais ils ne sont pas installés dans l’Océan Indien. On a eu aussi la mise en place des plans de construction approprié pour les tsunamis, des systèmes d’alerte précoce, des programmes d’éducation sur les tsunamis et la mise en place des voies d’évacuation en cas de tsunami comme on peut le voir sur cette photo. De plus, la restauration des mangroves et des récifs coralliens pourrait servir au cas où un tsunami frapperait la cote car ces barrières naturelles servent à briser les vagues et de protéger des espèces.

Conclusion :

Pour conclure, le 26 décembre 2004, un séisme de magnitude de 9,3 sur l'échelle de Richter a frappé l'Indonésie et a engendré un tsunami de grande ampleur. Ce même tsunami a ensuite touché des pays côtiers de l'Océan Indien comme l'Inde ou la Thaïlande. Il a alors causé de nombreuses pertes matérielles et humaines entraînant un bilan très lourd. Après le tsunami meurtrier qui a frappé l’océan Indien en 2004, pas moins de 24 plates-formes flottantes de détection avancée ont été placées dans l’océan Indien et 168 gouvernements ont adopté des mesures préventives destinées à réduire les divers risques en cas de catastrophe naturelle. En plus, 250 000 nouvelles habitations ont été construites, plus d’une centaine de ports

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