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TPE SES et Sport

Par   •  17 Septembre 2018  •  2 053 Mots (9 Pages)  •  575 Vues

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Près de 1630 clubs participent à des championnats de France. L'élite dispute le Top 14 et les sept meilleures équipes participent à la Coupe d’Europe de rugby à XV. La France, avec plus de 67 millions d'habitants, est le pays le plus peuplé au monde où le rugby à XV est un sport majeur, soit plus d'habitants que la Nouvelle-Zélande, l'Australie, les Fidji, l'Irlande, l'Écosse et le Pays de Galles réunis. L'équipe de France participe chaque année au Tournoi des six nations , compétition qu'elle a gagnée 24 fois. Depuis 1987 , la France participe à la Coupe du monde de rugby, elle a été finaliste à trois reprises en 1987, 1999 et 2011. La France a accueilli la Coupe du monde du 7 septembre au 20 octobre 2007.

Chiffre d’affaires des clubs professionnels

masculins en M€

2010-2011 2011-2012 2012-2013 2013-2014

Football 1 040 1 135 1 297 1 497

Rugby 300 321 335 359

Volleyball 38,1 39,5 41,1 42,2

Handball N/C N/C N/C N/C

Basketball 97,6 99,3 101 108,2

b) leurs sports les plus délaissés.

Aux usa, les sports les délaissés sont le rugby européen, qui est d’avantage remplacé par le football américain , le «soccer», c est à dire le football en Europe, n'est pas très développé au usa: certes les jeunes sont plus attirés par le football européen dans le monde entier, mais ce n'est pas trop le cas pour les USA.

2) En France, les sports de combats comme l'UFC et la MMA sont considérés comme trop violent pour le gouvernement français, de ce fait il n'y a pas beaucoup de licenciés dans ce domaine.

En France, le golf est un sport qui n'est pas pratiqué par tout le monde, c est les personnes les plus riches qui pratique le plus souvent.

c) les différences de popularité dans chacun de ces pays.

Pour comparer la popularité de ces deux pays, nous allons nous basés sur les sports universitaires.

Et comparer les états -unis et la France dans ce domaine.

En France afin de compléter la formation sportive scolaire, l’État a mis en place les sections sports-études. Ces établissements qui combinent études et sport de haut niveau se développent dans les années 1960. Après les résultats catastrophiques des Français aux JO de 1960 et 1964 (5 et 15 médailles pour la France contre 71 et 90 médailles pour les États-Unis), on retrouve au moins un établissement disposant d’une section sports-études par département.

Les sections sports-études assurent la base de travail, mais ce dernier doit être poursuivi au sein de pôles de haut niveau. L’INSEP, en région parisienne, héberge quelques-uns de ces pôles. Dans certains sports plus structurés comme le football ou le handball, la formation spécialisée est assurée au sein de centres de formation intégrés aux clubs professionnels. Les sections sportives scolaires offrent une pratique sportive renforcée dans une seule discipline. Elles peuvent favoriser l’éclosion de futurs sportifs de haut niveau. À la rentrée 2010, il existait environ 3 000 sections sportives scolaires, pour près de 60 000 élèves. On constate, d’après les résultats des jeunes sportifs qui sortent de cette filière, que ces sections n’ont pas pour but de former de futurs sportifs de haut niveau, mais de pousser les jeunes à faire du sport.

Contrairement à la France, les États-Unis intègrent les études aux sports depuis l’école primaire afin de former des champions. Les jeunes sont encouragés à pratiquer leurs sports dès le plus jeune âge. Ainsi cela permet aux athlètes de participer à des compétitions pouvant attirer 100 000 supporteurs (par exemple, le football américain). La NCAA (fédération de sport universitaire nationale) est le plus important programme sportif universitaire des USA. Aux Jeux olympiques de Pékin, 44 athlètes américains ayant remporté une médaille, dont le nageur Michael Phelps ou le basketteur Kobe Bryant, ont suivi un cursus scolaire-sportif universitaire. Le sport universitaire américain a vraiment pour but de former des athlètes de haut niveau alors qu’en France les débouchés sont souvent en option.

Les raisons principales qui créent cette distance sont les infrastructures ; en France les matchs ‘universitaires’ sont organisés dans des salles de quartier, alors que le sport outre-Atlantique met à la disposition des athlètes des salles, des gymnases et des stades. Le deuxième problème est le mode de financement, en France il provient des AS (associations sportives) ce sont donc des petits budgets qui ne permettent pas de rivaliser contre la NCAA ( National Collegiate Athletic Association) qui jouit d’un budget de 5,64 milliards de $ (chiffre de 2008). Cette somme provient majoritairement des droits télé. La différence de moyens s’explique par la popularité du sport universitaire aux US. De plus certains sports font partie intégrante de la culture américaine comme le foot animé par le cheerleading (contrairement au pom-pom girls, le cheerleading est considéré comme un sport) ou encore le basket. C’est ici que le système français semble pêcher : la culture du sport en France est peu développée.

Cette disparité se reflète aussi dans la quasi-gratuité du sport universitaire en France, qui contraste avec la somme exorbitante que doivent débourser les jeunes Américains dans leurs cursus sportifs, somme qui peut aller de 6 500 $ et jusqu’à 50 723 $ (avec l’hébergement sur le campus). Si ce contraste est tellement important c’est à cause des différences d’encadrement technique : le staff américain est conséquent : coach, kinésithérapeutes, médecin, préparateurs physique et mental… Les athlètes blessés sont tout de suite pris en charge par des équipes dignes des Centres de Rééducation les plus compétents. C’est pourquoi les sportifs préfèrent aller étudier aux USA que dans leur pays d’origine. Par exemple Julie Coin, une tenniswoman française a joué dans une université de Caroline du Sud avant de passer professionnelle.

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