Les valeurs fondamentales de l'Olympisme, vers un monde nouveau?

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qui lors des JO d’Helsinki en 1952, a gagné les marathons de 5000 et 10000 mètres alors qu’il n’avait jamais couru de marathons auparavant ; faisant preuve d’esprit sportif et olympique, en 2000 on lui a remis la quatrième et rare médaille Pierre de Coubertin, qui récompense l’esprit olympique : le respect des trois valeurs.

L’application de ces valeurs créent des moments touchants, mémorables. Malheureusement, ils peuvent toutefois être inoubliables dans un mauvais sens.

...mais des valeurs mises à mal aussi.

Il n’est pas rare d’entendre des faits olympiques faisant scandales, ce qui est problématique voire même anormal.

Par exemple, un des sujets péjoratifs les plus courants autour des jeux est le dopage. Beaucoup d’athlètes s’avèrent être positifs au test de dopage chaque année malgré le serment, dont à peu près 107 se virent être disqualifiés avant même le début des jeux d’été de Londres en 2012. En outre, la prise de substances fut la raison pour laquelle la Russie fut bannie des jeux olympiques de l’été dernier, Vladimir Poutine, le président, et les entraîneurs ayant encouragé les sportifs à en prendre. Le dopage était devenu une politique chez eux. Seule une sauteuse en longueur fut épargnée, ayant été entraînée aux Etats-Unis depuis 2013.

Mais aussi les attentats comme celui sanglant des palestiniens lors des JO de Munich en 1972 ; ou bien les athlètes ayant subi de la discrimination, notamment la judoka brésilienne Rafaela Silva qui fut victime de commentaires racistes à cause de sa couleur de peau.

Sans parler du manque de solidarité entre les pays riches / pauvres, les pays du nord / du sud : les pays pauvres, notamment Madagascar et les autres pays de l’hémisphère sud, manquent d’infrastructures pour que les sportifs s’entrainent ; ce manque est la principale raison pour laquelle Madagascar n’a jamais obtenu de médailles. Les athlètes de ces pays sont capables de participer aux JO comme les pays « du nord », seuls ce manque de lieux d’entrainement et de fonds les retiennent, ce qui fut le cas pour Mr. Damy Sedaly, professeur de sport au Lycée Français de Tamatave, qui, lorsqu’il était en Terminal se fit qualifié mais ses parents n’ayant pas les moyens pour qu’il puisse refaire sa dernière année de lycée, il fut contraint de refuser de participer.

En outre, une des conséquences du manque d’infrastructures, nombreux partent dans des pays développés afin de continuer leur entrainement dans de meilleurs conditions, jusque-là, tout va ; mais encore une fois par manque de fonds, certains athlètes changent de nationalité afin d’être mieux pris en charge, et donc choisissent de ne plus représenter leur pays d’origine, et cet acte que les pays « riches » font est pareil a un « vol » d’athlètes.

Ce manque de soutien de la part des pays du nord remet en cause « l’unité » des nations.

Aujourd’hui, nous sommes bien loin d’atteindre ce but de bâtir un monde nouveau : beaucoup trop de fléaux affectent l’évolution d’un monde nouveau, nous nous trouvons encore dans un monde d’inégalités et de triche.

Bien sûr, les valeurs universelles et l’Olympisme permettent toutefois un monde nouveau, mais seulement, pas pour maintenant. Afin d’achever cet objectif, il faudrait essayer d’éliminer toutes formes de substances dopantes ainsi que de bannir les états d’athlètes qui enfreindraient la Charte Olympique pendant un certain laps de temps ; de permettre aux athlètes des pays pauvres de s’entrainer dans les pays riches en interdisant le changement de nationalité.

Pourquoi est-ce que le CIO ne pourrait pas aider à organiser un des prochains JO en

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