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Fiche revision cas

Par   •  3 Avril 2018  •  1 604 Mots (7 Pages)  •  470 Vues

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Exemple de comportement systématique : l’ancrage.

Audit : Oligopolistique.

Pression des clients : Honoraires, délais, conditions de travail, perdre l’information dans des milliers de lignes, coopération ou non.

Contrat social : Trust, self-regulator, litiges (taux d’audit failure très fible : 2°/°°…

Crise de 29 : actifs fictive + filialisation

Revue indépendante

Arnold

Vérité et rigueur

Obligation de publier et de faire certifier des états financiers de synthèse de la part des entreprise.

Complexité des relations.

Comptes A1, A2….. devant être relier les taches T1 (rapprochements bancaires).

L’auditeur a une double contrainte, une première de qualité pour justifier de son opinion (qui doit être motivée en effectuant un certains nombre de travaux) et économique (rester dans un certain budget et limiter l’étendue des travaux).

Il faut donc atteindre le niveau acceptable le plus rapidement possible. Au-delà du niveau acceptable, c’est du sur-audit, c’est superflu.

« Ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes anuels ne comportent pas d’anomalie significatives » (CNCC)

➔ Expectation gap

Equation de l’auditeur = IR*CR*DR

Rapprochements bancaires : pas efficace, pas assez exhaustif.

Inhérent risk : f(activité ; environnement ; … ; …)

Contrôle risk : C’est le risque qu’une erreur éventuelle soit significative puisse survenir dans les états financiers, et ne soit pas détectée ou anticipée par le dispositif de contrôle interne de l’entreprise.

Détection Risk : Risques que le procédures d’audit conduisent un auditeur à conclure à tort que des anomalies n’existent pas.

Arbitrages à très court terme, sauf que spéculations sur des achats à termes, et donc en dehors de l’environnement. Les responsables à Londres ne connaissaient pas les produits dérivés. Les auditeurs auraient pu se poser la question quand la petite filiale de Singapour a réalisé 50% des bénéfices du groupe de la banque Barings.

Les assertions

- Existence ou Occurrence (Réalité)

- Completeness (Exhaustivité)

- Rights et Obligations (Droits et Obligations)

- Valuation ou Allocation (Valorisation)

- Presentation et Disclosure ( Présentation)

Cut-off permet de séparer les exercices et fait également l’exhaustivité.

Actif = droit qui ont un sens ➔ réalité

Passifs : Olibations ➔ exhaustivité

Fournisseurs avec fortes rotations : exhaustivité.

Problème : Bank of America certifiant que Permalat avec 5M€.

Notion de matérialité : Erreur significative.

« c’est le montant d’erreur à partir duquel les comptes ne fournissent plus une image fidèle ». Notion variable selon les utilisateurs. Sauf que ca dépend des investisseurs, c’est variable selon les utilisateurs.

Le seuil de signification (matérialité).

Erreur tolérable : c’est la déclinaison sur chaque compte : souvent 50%. Mais peu de chances que les erreurs aillent dans le même sens. Seuil de remontée des ajustements.

Exhaustivité : des pièces à la comptabilité.

Carey, Simmet, 2006, Accounting review,.

Turn over.

La probabilité que l’auditeur se trompe est la multiplication des 3 risques. (Conjonction des trois créé le risque d’audit. (SAS 47). Dans la pratique, dans les illustrations qu’ils donnent, c’est IR*CR*DR

Pbm : ce ne sont pas des variables indépendante, elles sont subjectives. Exemple : quand il existe un contrôle routier : l’effet détection, et l’effet de prévention (ceux qui vont passer devant les gendarmes vont prévenir les autres).

Méthode probabilistes bien pour la réalité, pas bien pour l’exhaustivité.

Évaluation du risque lié à l’environnement (IR)

Deux niveaux de risques :

Risque élevé

Risque

Evaluation du risque lié au contrôle interne (CR)

Trois niveaux de risques

Contrôle clé inefficace ou non testé

Risque élevé

Contrôle clé vérifié par un test de 25 (90% d’avoir moins de 5% d’erreur)

Risque faible

Contrôle clé vérifié par un test de 60 (95% d’avoir moins de 5% d’erreur)

Risque très faible

-§-

110% - les gros montant pour avoir une sélection homogène.

Accent mis sur les revues analytiques. Outils puissant lorsqu’ils sont bien faits, lorsque l’on s’éloigne du N-1.

Ashton 1991 : Cognitive Research un Accounting

AJPT (Auditing Journal…)

Pour tester un modèle, on le compare avec autre chose. Ils ont demandé à des auditeurs des évaluations des différentes composantes d’audit. Le test a consisté à récupérer les évaluation de IR CR DR et donc AR. AR réel

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