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Lavare analyse

Par   •  3 Mai 2018  •  1 023 Mots (5 Pages)  •  533 Vues

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Cette énumération se termine par un nouvel excès de folie puisqu’il veut se faire torturer parce qu’il se soupçonne lui-même d’être le coupable du vol.

Quatrième partie

Harpagon soupçonne les spectateurs.

Harpagon découvre soudain le public : »que de gens assembles » et s’adresse à lui. Il soupçonne le public de :

- De savoir qui est le coupable

- De le cacher parmi lui.

- D’être complice du vol.

Il est totalement paranoïaque. Il soupçonne tout le monde et l’absurde est qu’il soupçonne aussi le public. Il est repris par sa folie. Il emploie plusieurs techniques pour tenter d’obtenir des informations du public :

- Il pose des questions.

- Il emploie des expressions de politesse et des suppliques : »De grâce » « je supplie »

- Des expressions de certitude : « sans doute «

Enfin, harpagon parle en « aparté » lorsqu’il dit « vous verrez » Vous est une personne qui n’est pas présente et « ils « est le public. Il fait une différence entre « vous » qui est innocent et « ils « qui est coupable.

Dernière partie

La punition

Harpagon dit » allons «, il emploie l’impératif et cela montre qu’il a retrouve sa lucidité et il reprend la situation en main. Il s’adresse à tous les représentants de la loi et de la justice. Il y a une énumération des représentants de la justice. Il y a gradation. D’abord, il nomme les gens de la police : » des commissaires, des archers », ensuite, les hommes de la loi « des prévôts, des juges ». Ensuite il passe aux instruments de torture « des gênes, des potences » et enfin aux exécuteurs des condamnes a mort « des bourreaux ». S’il ne retrouve pas son argent, il veut pendre tout le monde puis se pendre lui-même. C’est un acte d’autodestruction, un genre de suicide.

Résumé

Tout le monologue est un crescendo qui exprime la panique, la folie et la paranoïa. Harpagon est panique, il est fou, il est paranoïaque.

Dans cette scène Molière fait une caricature de l’avare. Pour cela Molière utilise les procédés comiques à sa disposition. Grace a ces procédés, Molière pousse a l’extrême le caractère de l’avare.

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