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Arts techniques et civilisations

Par   •  24 Août 2018  •  1 838 Mots (8 Pages)  •  495 Vues

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B. Les couleurs/ effets

Les couleurs sont très sombre dans les loges de Vanity, seul les miroirs bien éclairé d’une lumière blanche et les flashs des appareils photo ou lumières des projecteurs, qu’on suppose voir sur le mollet d’une d’entre elle arrivant dans la loge, donnent un contraste avec la scène. On pourrait parler de clair obscure, les miroirs aide a reflété cette lumière un peu partout au point de nous éblouir. Nos yeux se perdent entre la lumière puissante qui se reflète dans les miroirs et les zones trop sombre pour y voir clairs, on assiste à une vraie scène nocturne qui nous procure presque un effet non naturel. Alors que dans le tableau de Jeff Koons les couleurs y sont totalement opposés. C’est une explosion de couleurs vives, qui s’exaltent sur ce tableau. Les couleurs de l’arrière-plan sont froides (vert, bleu) contrairement à l’avant qui lui utilise des nuances plutôt chaudes (jaune, orange, rose, rouge) c’est couleurs faisant référence aux désirs à l’amour et à la sensualité. Le lieu de l’arrière-plan est là pour adoucir, rafraichir cette scène qui s’exalte. Lorsque l’on voit ce tableau nos sensations se perdent comme dans la première iconographie, on ne sait plus quoi ressentir entre le chaud et le froid.

Le tableau de Koons nous porte de mêle à confusion, au premier regard nous pourrons croire que ce tableau est un montage photographique car la qualité graphique des éléments parait très réaliste alors qu’enfaite il s’agit d’une huile sur toile. On souhaite associé ces deux iconographie par leur volonté de dissocié des éléments dans leurs scènes mais leurs techniques de mise en pages sont bien différentes. En plus de l’oxymore dans la sensation de chaud, froid, Koons joue sur la métonymie lorsqu’il découpe les éléments du visage, il représente deux bouches et un seul œil. Mais pas seulement, sa représentation inspire a une probable allégorie celle des sept pêchés capitaux, dans les éléments représentés il y a en tout sept indices.

Ce sont deux iconographies surréaliste, leurs procédés et intentions sont similaire, seul leurs techniques peuvent réellement les différencier. Le choix des couleurs, postures humaines et choix de la sémiologie sont des moyens qui permettent de présenter un cliché séducteur. Mais les ressentis selon un public visé peuvent varier: si l’on considère ces iconographie comme étant des modes de communication, Leurs procédés peuvent nous paraitre flatteur quand il évoque la vanité, la sensualité, le désire, le rêve … Peut être le public se retrouvera dans ces deux œuvres et l’évoqueront comme quelque chose d’amusant ou alors touchant. Mais leurs procédés peuvent aussi paraitre trompeurs puisqu’ils n’aspirent pas au réel. Si ces œuvres sont un moyens de communication, pour certains se serait de dénaturés l’élément à mettre en valeur, à la place de ça on le mêle a une scène, un univers, au point de portée confusion sur l’objectif de base de leurs communication.

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