Oeuvre d'art

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Et au quatrième plan sur la droite du miroir, on voit une personne situé dans une autre pièce qui nous regarde aussi. Tout ces regards qui sont fixer sur nous, nous donne aussi l’impression d’insister directement à cette scène. Comme si nous étions leurs centre d’interêt, de ce moment peint sur ce tableau alors que non. C’est une mise en abîme

Ces deux artistes ont peints deux scènes bien différentes, ils ont montré un moment de l’histoire de ces personnages présentent dans ces toiles. On pense directement que le but principale de ces peintres était de partager, de montrer, de vivre ces deux moments différents. Mais qu’au réalité, ces miroirs présentent dans ces deux scènes font toute la différence. Ils sont le symboles de la réalité de ces deux scènes. L’utilité de peindre le miroir et de le mettre en fond de la pièce, va permettre à l’artiste de montrer aux spectateurs ce qu’on ne peut pas voir. Mais ces deux artistes l’utilisent pour montrer deux choses différentes. Celui de Jan Van Eyck a pour but de montrer sa présence dans cette scène très intime mais aussi pour manifester sa suprême habileté dans le rendu des détails les plus précis. En quelque sorte, il nous montre le moment où il peint ce couple qui est maintenant du passé pour nous. Ce qui donne le côté très réaliste de cette scène en plus du chien qui nous regarde. Celui de Diego Vélasquez a pour but de montrer la vérité de cette scène. Car en regardant cette toile, nous avons l’impression en tant que spectateurs, que nous participons à cette scène car les personnes de cette toile nous regardent. De plus nous voyons le peintre qui est en train de peindre sur une grande toile et qu’au même temps, il nous regard aussi. On pense immédiatement que nous sommes le sujet de ça toile. Mais en réalité nous avons rien à voir avec tout ceci. C’est grâce au miroir situé en fond de la pièce, qu’on peut alors comprendre la vrai réalité, le vrai sujet de cette scène qui est un couple royal (Philippe IV et Marianne) situé à la même place que le spectateur. On voit bien ce couple qui est reflété dans ce miroir.

Encore une fois, l’artiste nous montre ce qu’on ne peut pas voir. Le miroir reflétera toujours la vérité, la réalité de ce qu’il voit.

On peut conclure que ces deux oeuvres ont beaucoup de points communs même si ces deux scènes sont très différentes. Les Ménines a très certainement été influencé par les époux Arnolfini. Car à l’époque où Velazquez peint les Ménines, le tableau de Jan Van Eyck est accroché au palais de Philippe IV et Velazquez connaissait sans doute très bien cette toile. Leurs ressemblances est confirmé à l’aide de ces couples qui se font peintre, puis la présence du chien au premier plan. Et de plus, le miroir qui montre deux réalités bien différentes.

Au niveau du point de vue, les époux Arnolfini est l’inverse des Ménines car : ce qu’on voit directement chez Jan Van Eyck est l’autoportrait d’un couple et le miroir reflète l’artiste en train de les peintre. Donc l’artiste se trouve à la même place que le spectateur alors que c’est l’inverse chez Diego Vélasquez, où le couple se trouve à la place du spectateur. Dont le miroir reflète le couple royal.

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