Les différentes intentions artistiques liées à l’orientalisme.

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Durant ce voyage, E. Delacroix confit que les paysages lui font penser à son enfance avec toutes les couleurs, la beauté rude et puissante. Sans relâche il dessine toute la journée, il croque et relève toute la vie qui palpite autour de lui.

Dans un second temps nous pouvons parler des techniques pour mettre en avant les tableaux de l’orientalisme. D’un point de vu technique, les peintres jouent beaucoup avec les lumières, les ombres et les couleurs. Dans un tableau la première chose qui nous incite à continuer de regarder un tableau dans les petits détails ce sont les couleurs que ce dernier inspire. Chaque couleur est choisit en avance, pour faire ressortir une émotion du tableau. Les couleurs sont souvent avec des tons plus chauds, privilégiant des teintes pus rouges, jaunes ou brunes, les lumières suivent cette voie et sont également chaude et contrastés. De la couleur à la lumière, les problèmes posées aux artistes face à une forte luminosité. Peindre sous la lumière de l’orient, c’est tenter de la dompter pour que la couleur puisse enfin se poser sur la toile. Pour beaucoup seul le dessin ou l’aquarelle sont possible.

Pour donner de la profondeur ou un semblant de vie dans les tableau, les artistes rajoutent des côtés d’ombres sur le toile, par exemple sur un visage il suffit de rajouter un peu d’ombre sur le côté droit du visage, la lèvre supérieur, d’accentuer les narines et les paupières. Afin d’avoir un effet juste « réaliste » il suffit de placer les ombres et les lumières au bon endroit. Plus l’ombre est accentuée plus elle indique la profondeur, au contraire plus la lumière est claire, plus elle indique la hauteur.

Pour mettre en avant les tableaux, les peintres utilisent des techniques différentes. Par exemple, répondre aux fantasmes occidentaux via une iconographie exotique. Le premier à s’engager sur cette voix, est E. Lacroix. son chef d’œuvre, Femmes d’Alger dans leur appartement (1934) va lui être inspiré grâce à sa visite secrète du harem d’un corsaire turc.

Dans ses carnets, durant son voyage au Maroc, E .Delacroix inscrit minutieusement toutes les couleurs dans son carnet, les architectures, les silhouettes, les étals colorés d’un des échoppes regorgeant d’épices. Après ce voyage il dessine, La prise de Constantinople(1840) Le combat du Giaour et du pacha (1856). Au Maroc Delacroix de constitue un riche répertoire d’images, de paysages et de couleur.

Pour conclure, nous pouvons dire que oui la couleur fait une très grande partie dans le magique d’un tableau, mais que beaucoup d’autres techniques sont mises en place pour pouvoir rendre une œuvre aussi net et fluide. L’artiste doit réfléchir a chaque petit détail pour que la toile soit parfaite. Dans la réalité, la lumière est rarement blanche et l’ombre noir. Les couleurs sont partout et elles s’influencent les unes aux autres. Non seulement l’ombre se modifie en fonction de la lumière, mais les couleurs également. Si la couleur est rouge toutes les couleurs deviendront rougeâtres : Le blanc deviendra rose, le jaune deviendra orange.

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