Analyse TROIS précédé de UN et DEUX
Par Junecooper • 3 Octobre 2018 • 1 010 Mots (5 Pages) • 561 Vues
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culture iranienne.
La pièce se découpe donc en trois parties : dans la première, on découvre Mani Soleymanlou seul sur scène, racontant son histoire ; dans la deuxième partie, il est accompagné d’Emmanuel Schwartz, cette fois c’est lui qui tente de raconter l’histoire de Mani à sa place, sous la supervision de ce dernier ; enfin, la troisième partie regroupe une trentaine d’acteurs, racontant des brides de leur histoire ou donnant leur vision de l’identité.
A travers son texte et sa mise en scène, Mani Soleymanlou s’interroge donc sur sa propre identité mais également sur la question de l’identité en général avec humour et autodérision.
Analyse de mise en scène,
TROIS précédé de UN et DEUX
Lundi 27 mars, nous sommes allés voir au théâtre Gérard Philippe la pièce de Mani Soleymanlou, TROIS précédé de UN et DEUX. Le spectacle dans chaque partie le met en scene, seul ou accompagné, racontant son ou d’autre histoire(s), s’interrogeant sur la question de l’identité. Mani est iranien, mais sa famille et lui sont partis alors qu’il etait encore très jeune pour fuir le régime et vivre quelques années en France avant d’aller vivre au Canada. Il remet alors en question son identité iranienne, car il n’a jamais réellement connu la culture iranienne.
La pièce se découpe donc en trois parties : dans la première, on découvre Mani Soleymanlou seul sur scène, racontant son histoire ; dans la deuxième partie, il est accompagné d’Emmanuel Schwartz, cette fois c’est lui qui tente de raconter l’histoire de Mani à sa place, sous la supervision de ce dernier ; enfin, la troisième partie regroupe une trentaine d’acteurs, racontant des brides de leur histoire ou donnant leur vision de l’identité.
A travers son texte et sa mise en scène, Mani Soleymanlou s’interroge donc sur sa propre identité mais également sur la question de l’identité en général avec humour et autodérision.
Analyse de mise en scène,
TROIS précédé de UN et DEUX
Lundi 27 mars, nous sommes allés voir au théâtre Gérard Philippe la pièce de Mani Soleymanlou, TROIS précédé de UN et DEUX. Le spectacle dans chaque partie le met en scene, seul ou accompagné, racontant son ou d’autre histoire(s), s’interrogeant sur la question de l’identité. Mani est iranien, mais sa famille et lui sont partis alors qu’il etait encore très jeune pour fuir le régime et vivre quelques années en France avant d’aller vivre au Canada. Il remet alors en question son identité iranienne, car il n’a jamais réellement connu la culture iranienne.
La pièce se découpe donc en trois parties : dans la première, on découvre Mani Soleymanlou seul sur scène, racontant son histoire ; dans la deuxième partie, il est accompagné d’Emmanuel Schwartz, cette fois c’est lui qui tente de raconter l’histoire de Mani à sa place, sous la supervision de ce dernier ; enfin, la troisième partie regroupe une trentaine d’acteurs, racontant des brides de leur histoire ou donnant leur vision de l’identité.
A travers son texte et sa mise en scène, Mani Soleymanlou s’interroge donc sur sa propre identité mais également sur la question de l’identité en général avec humour et autodérision.
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