Psychologie de la sexualité

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- Les lois actuelles au Canada sont-elles adéquates ? Devrait-on les modifier ? Comment ?

Premièrement, les lois au Canada ne sont pas adéquates, car elles ne sont pas assez sévères, par exemple, madame Mourani a affirmé pendant la conférence que un proxénète qui s’est fait arrêter en Ontario pour l’exploitation d’une jeune fille de 15ans, s’en ai sorti avec un an et quelques mois d’emprisonnement. La loi c36 est celle qui interdit l’achat de service sexuelle au Canada. Non seulement la transgression de cette lois n’est pas puni assez sévèrement au Canada mais de plus, elle n’est pas appliquée partout au Canada, par exemple, il y a eu aucun cas d’arrestation au Québec pour la transgression de cette lois. Deuxièmement, il existe la loi c452 qui permet au policier d’arrêter les proxénètes sans le témoignage des victimes mais cette loi n’est pas mise en décrets par le premier ministre Trudeau. En résumé on devrait modifier les lois pour quelles sont appliquées partout au Canada et Trudeau devrait faire appliquer cette lois de sorte que les policiers puisse faire des arrestations des proxénètes sans témoignage des victimes et au niveau judiciaire, donner des sanctions plus sévères aux clients et aux proxénètes. Le Canada devrait s’inspirer de la Suède et rendre ses sanctions plus sévères en ajoutant des amendes aussi.[3]

- Que peut-on faire pour prévenir ?

Pour prévenir la prostitution, il faut d’abord et avant tout que les parents s’assure que leurs jeunes filles soient dans un climat agréable à la maison et les informer très tôt par rapport à la prostitution, leurs conséquences et les proxénètes. Un autre moyen de prévenir la prostitution est de mettre plus l’emphase sur ce sujet dans la publicité, les écoles et sur les réseaux sociaux et finalement, en sanctionnant fortement les personnes qui en profitent et qui la pratique.

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