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Dissertation de sociologie - Contrôle social

Par   •  1 Mai 2018  •  1 456 Mots (6 Pages)  •  712 Vues

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deux types de sanctions: positif et négatif. Pas positif nous entendons tout simplement un sourire ou des félicitations. Le contraire c’est-à-dire les sanctions négatives peuvent être par exemple le commérage, le rumeur, la moquerie etc. 

Pour une meilleure explication du controle social informel nous allons utiliser l’exemple du document. 

Selon l’extrait de Dominique Cardon,  le phénomène de réseaux sociaux a pour l’effet un nouveau type du contrôle social informel. Concrètement il parle de la surveillance interpersonnelle par les plates-formes de type Facebook, Twitter ou Instagram. Selon les enquêtes  dont Cardon parle les adolescents voient un risque d’une désapprobation devant ses proches sûr ces réseaux sociaux. Ils font donc plus attention à ceux qu’ils partagent sûr internet pour éviter des sanctions morales c’est-à-dire des regards ou des remarques de désapprobation. Nous pouvons conclure que la mode de réseaux sociaux a une forte influence dans la domaine du contrôle social. Elle conduit les individus à être plus attentifs à ce qu’ils partagent entre les membres de leur milieu social. 

Dans cette partie nous avons vu que le contrôle social dans notre société a évolué de la manière croissante grâce aux différents acteurs sociologiques. Maintenant, nous allons nous intéresser sûr les limites potentiels de cet évolution.   

Dans la deuxième partie, nous allons voir les phénomènes de notre société moderne qui empêchent un bon contrôle social.  

Prenons le texte du document 2. Selon Philippe Robert, les relations sociales ont vécu une forte évolution depuis les années 1950. Il nous explique que aujourd’hui nous pratiquons particulièrement les relations éloignées mais nous en avons plusieurs. Cela est le contraire de la situation dans les années 1950 où les individus n’ont pratiqué que quelques relations mais il s’agissait des relations proches. Cet évolution donc permet que aujourd’hui nous n’avons qu’une confiance limitée à nos autrui et les individus deviennent plus souvent des objets du commérage etc. Cet évolution nous donc n’empêche pas d’un fort contrôle social. 

Dans notre société d’aujourd’hui nous remarquerons dans chaque génération - même entre les adolescents même entre les personnes plus âgées - un attitude qui conduit à identifier des individus selon leurs actes comme déviants ce qui limite les capacités de ces personnes à s’intégrer dans une groupe sociale. Cet effet était formulé par un sociologue américain Howard Becker dans les années 1960. Il est ensuite étudié par plusieurs sociologues qui ont trouvé que cette attitude peut conduire jusqu’à la stigmatisation durable c’est-à-dire que les actes anciennes ont identifié l’individu définitivement et vont empêcher son réintégration dans la société. De plus, ils peuvent également devenir porter cette stigmatisation, se porter selon elle et devenir définitivement déviants. 

Après avoir présenté les termes étiquetage et stigmatisation nous allons prendre un exemple pertinent: l’homophobie. 

Avec le vote de la loi permettant le mariage et l’adoption aux couples de personnes de même sexe en 2013 notre société s’ouvre aux nouveaux possibilités, à plus de liberté et égalité mais aussi aux nouveaux conflits. Comme il s’agit d’une nouveauté, les couples bissexuel mariés sont souvent mal vu par les autrui. Cet effet est observé par L’Homophobie SOS, une des organisations qui se manifeste contre plusieurs types d’homophobie (lesbophobie, transphobie etc.) en France. Selon le document 3, nous pouvons voir les résultats d’une enquête social de cette organisation. Elle nous révèle le pourcentage des individus homosexuels interrogés qui se sentent des victimes des actes d’homophobie. Prenons un exemple pertinent: 39 % des individus homosexuels interrogés  ont reçu des insultes par rapport à leur orientation sexuel et 22 % de même l’ensemble des individus ont été menacés par la même raison.  

En conclusion, nous avons vu qu’ils existent encore nombreuses victimes d’un mauvais contrôle social, par exemple des victimes de l’homophobie. 

Pour conclure, nous avons vu que le contrôle social de nos jours à vécu une évolution où grâce aux nouveaux moyens de surveillance. Rappelons les nouveaux règles du code de 2013 ou les réseaux sociaux. Ces ressort ont aussi pour l’effet que les individus transgressent moins les normes de société en devenant plus attentifs et rigoureux. Au contraire, il y a en effet quelques limites de cet évolution. Nombreuses sont les victimes des défaits du contrôle social de nos jours. Rappelons les individus homosexuels qui soumis des manifestations contre l’homophobie mais n’oublions pas également des victimes de stigmatisation et étiquetage. 

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