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Assurance Securiplus

Par   •  12 Octobre 2017  •  1 976 Mots (8 Pages)  •  1 236 Vues

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pas représenté dans le cas présent :

• La discipline

• L’unité de commandement; un seul chef par personne afin d’éviter les conflits.

• L’unité de direction; Une équipe sous un seul patron ayant la même direction.

• Subordination de l’intérêt particulier à l’intérêt général signifie que les intérêts de l’entreprise passent avant ceux des individus.

• La Rémunération du personnel doit être équitable et satisfaire les deux partis soit employés et employeur.

• Par l’unité de commandement, les conflits d’union du personnel sont souvent évités. Une bonne communication évite aussi les discordes. On privilégie les communications verbales qui sont plus efficaces que celles écrites.

En conclusion, selon les principes de Fayol, le père de la fonction d’administration, nous pouvons voir plusieurs principes énumérés, ci-haut, qui sont respecté par l’entreprise dans les exemple cités. Il y a par-contre de grandes lacunes à des principes essentiels qui nous permettent d’observer plusieurs manques au sein de cette entreprise, ce qui nous démontre qu’il y a place à de grandes améliorations.

Question 3 (5 points)

Sur la base des postulats du mouvement des relations humaines et du modèle participatif, quelles critiques pouvez-vous adresser à l’entreprise Assurances Sécuriplus? Illustrez votre réponse à l’aide d’extraits tirés du cas* et démontrez clairement la correspondance de ces extraits avec les postulats du mouvement des relations humaines et du modèle participatif. *

Le système participatif demande une communication à double sens. L’implication des employés dans l’établissement des objectifs ainsi que la prise de décision par groupe de travail amène à décentraliser. De ce fait, il n’y aura pas qu’une seule personne d’autorité. Plus les personnes ont l’occasion de contrôler leurs tâches de travail plus elles ont un sentiment d’appartenance et de satisfaction élevés et plus les décisions sont faciles à faire accepter par le groupe.

Selon le mouvement des relations humaines, la productivité dépend aussi de la satisfaction de besoins humains et de la satisfaction des membres au sein du groupe. Le rôle de la direction est donc de modifier, à l’aide de techniques appropriées, l’ambiance de travail en vue d’en assurer l’harmonie. Ils pourraient apporter certains changements au niveau de la gestion afin de s’approcher du mouvement des relations humaines, soit: la division du travail, la décentralisation, la satisfactions des besoins sociaux et le sentiment d’appartenance pour ne nommer que ceux-ci.

Pour ce qui est de l’entreprise Sécuriplus, il n’y a aucun lien avec le modèle participatif. Les directeurs ne donnent pas la chance aux employés d’être impliqués dans aucune décision, ni dans l’amélioration des processus. On impose aux employés des nouveaux systèmes sans les consulter, sans leur expliquer la raison de ses changements et sans leur demander leur point de vue, et pourtant, ils connaissent tous les aspects de leur travail.

Comme mentionné plus haut, si l’entreprise désire accroitre la productivité des employés et améliorer le service, il est important d’être à l’écoute des besoins des travailleurs. Les employés se sont plaints de ne pas bien maîtriser le système, ce qui n’aide pas à améliorer leur productivité. La centralisation de l’autorité freine les communications. La direction doit régler les problèmes de communication, être plus à l’écoute de leurs employés et prendre en charge les problèmes que ceux-ci soulèvent.

Je crois qu’il serait judicieux pour l’entreprise de faire participer les employés dans la prise de décision. Ils devraient aussi être informés de leurs erreurs afin qu’ils puissent s’améliorer. Cela leurs permettraient aussi de se sentir plus engagés en comprenant les répercussions de ces erreurs sur l’entreprise. Il serait bien aussi de ne pas seulement mentionner les mauvais coups, mais aussi de souligner les bons coups. Cela aurait un effet positif sur le sentiment d’appartenance, augmenterait l’esprit d’équipe et la productivité. L’entreprise se rapprocherait un peu plus d’un modèle participatif en améliorant la communication ainsi que l’harmonie au sein de l’équipe.

En conclusion, il serait très important de revoir la façon de gérer de M. Blanchette. Il utilise plutôt un système autoritaire. Au lieu de communiquer avec les gens, il a recours aux menaces de congédiements et de sanctions. Les décisions sont centralisées et prisent au sommet. Les employés n’ont pas la chance de dire ce qu’ils pensent ou de donner leurs opinions. Les communications sont peu nombreuses et toujours du haut vers le bas, unidirectionnel. Ayant des discourts péjoratif et condescendant, les dirigeants s’éloignent de leurs employés, ce qui résulte d’un esprit d’équipe inexistante. Bien qu’il existe une division du travail au sein de Sécuriplus et une organisation scientifique du travail, un problème cruciale demeure : celui de la mauvaise communication entre M. Blanchette et ses employés d’où la non-productivité des commis. Le rôle de la direction est donc de modifier, à l’aide de techniques appropriées, l’ambiance de travail en vue d’en assurer l’harmonie.

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