Essays.club - Dissertations, travaux de recherche, examens, fiches de lecture, BAC, notes de recherche et mémoires
Recherche

Une prise de conscience est elle toujours liberatrice

Par   •  1 Mai 2018  •  1 183 Mots (5 Pages)  •  748 Vues

Page 1 sur 5

...

de pouvoir prendre des décisions qui ne sont pas rattachés à des influences de l’inconscient. Donc selon Freud, nous pouvons dire que l’homme ne sera jamais totalement libre, car ce n’est pas seulement le conscient qui intervient dans ces actions mais aussi l’inconscient. Seule la psychanalyse est une meilleure connaissance de l’inconscient et une plus grande maitrise de ses actes, donc une éventuel plus libre “ liberté”.

La prise de conscience va permettre en quelque sorte l’indépendance de soit même ainsi que l’indépendance des éléments externe de la société. Car être libre s’agit et suppose la responsabilité de ses actes et la possibilité de choisir entre le bien et le mal, il existe néanmoins des contraintes externe de soi, dites naturelles auxquelles nous ne pouvons pas échapper, par exemple l’homme n’est pas libre de voler. Donc dans ce cas l’individu reste enclaver et emprisonner dans son corps, et fait appelle a l’illusion afin d’atteindre la liberté spirituel et physique.

Il est certains que la conscience est à l’origine de notre esprit critique ainsi que de notre réflexion personnelle, Descartes parle de la vérité qui résiste au doute est celle l’existence d’un sujet pensant “ je pense donc je suis”, ce qu’on appelle le cogito. Evidemment prendre conscience de nous mêmes et de nos présupposés, en outre de ce qui nous fait agir, consiste à accéder une potentiel liberté. Cependant nous pouvons nous demander si une prise de conscience est toujours libératrice ou peut créer l’effet opposé donc devenir source de limites de nos actions et être cause de l’enfermement du sujet.

La conscience peut être supposé comme l’enfermement de soi même. Descartes parle d’un dualisme entre l’âme dont l’essence est la pensée, et le corps qui est une matière. De même qu’il peut exister des corps sans âme, il peut exister des esprits immatériels. La conséquence de la philosophie cartésienne va donc aboutir a la séparation du corps et de l’âme. Si il y a séparation du corps par l’âme la liberté et individuelle à l’âme. L’âme va donc être libre de la conscience car elle va être libre de toute contraintes externes qui empêche le corps d’être libre. La conscience ne sera plus retiré par les loi de la nature qui empêche par exemple l’individu de voler. La vérité du cogito qui est une vérité absolue d’après Descartes, essaye de d’en douter la confirme puisque si je doute, je pense. Si je doute cela signifie que même si je pouvais douter du contenu de toutes mes représentations, je ne pourrais douter qu’elles sit mes représentations et qu’elles trouvent leur unité en moi, c’est à dire dans l’unité du sujet qui le pense.

Descartes va définir la notion de libre arbitre en celui qui choisi arbitrairement de faire quelque chose en sachant pour qu’elles raisons on décide de le faire. En se sens donc la liberté est plutôt la capacité de la raison à affranchir le sujet de tout déterminisme, être donc libre est de pouvoir et d’être capable d’agir indépendamment ,c’est a dire librement et consciemment, des causes externes qui intervient dans notre volonté.

Ainsi nous pouvons dire que d’une part la prise de conscience peut être libératrice car on suggère que la conscience donne le pouvoir d’agir avec une part de connaissance exacte des conditions de réalisation de notre action. Et d’autres par si on prend en compte l’opinion de Spinoza la conscience

ne peut pas être libératrice du fait qu’il rejette la thèse du “libre arbitre” et suppose que nous sommes influencer des événements que nous pensant contrôle par

...

Télécharger :   txt (7.4 Kb)   pdf (40.5 Kb)   docx (12.8 Kb)  
Voir 4 pages de plus »
Uniquement disponible sur Essays.club