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Une oeuvre d'art doit-elle nécessairement être belle ?

Par   •  4 Novembre 2018  •  855 Mots (4 Pages)  •  545 Vues

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Ce manque ne peut être qu’imaginaire

Quelque chose est à corriger au vu de mon intérêt → représentation de ce qui m’est utile

Désir = intéressé → c’est pour moi ; égocentrique ; je suis mon but ≠ désintéressé (désintéressement) → on ne s’intéresse plus à soi

≠ désintérêt → on ne s’intéresse plus à rien = indifférence

Il y a plaisir quand nous faisons l’expérience de plaisir c’est que l’on satisfait un intérêt personnel

Dans l’expérience esthétique, il n’y a aucun désir de consommation cad de prise de possession de l’objet, même symbolique (consommer=dominer)

En un certain sens, on peut dire comme spectateur de la beauté, je suis ravi (délivré de la tyrannie de mes désirs sensibles)

Beau

Agréable

C’est beau

C’est agréable

[Exigence

Appropriation

Délassement

Le sentiment que tout homme devrait faire la même expérience que moi

Cette nécessitée me concerne aussi (je me dis que je ne pouvais pas rester insensible)

Quand on expérimente une satisfaction qui n’est pas de l’ordre de la satisfaction, on est face à de la beauté.

Le désinternent de la beauté me conduit hors de moi

Cela me plait en vertu d’autre chose qui me dépasse

Le beau est l’objet d’un jugement de gout désintéressé (expérience d’un désir sans désir de consommation)

Il semble que cette satisfaction est nécessaire

Une expérience de la nécessitée sans

[pic 1]

Catégories

Singularité

Généralité

Universalité

Sujets concernés

Individuel

Un gd nombre

Plaisir gustatif

Tous, absolument

Exemple d’expérience

Plaisir gustatif

Plaisir gustatif

[pic 2][pic 3]

-

On appelle beau ce qui plait universellement, mais sans le soutien du concept, ni la représentation d’un but précis

-

Mise en question des arguments précédents : le jugement de gout serait surtout subjectif

-

En tant que la beauté relève d’un plaisir purement sensible, elle est subjective et ne peut donc servir de critère de définition pour l’œuvre d’art

- Comme tous les artisans, l’artiste suit d’abord un but utile

- L’œuvre d’art est celle du talent que l’on acquiert à force de travail

- L’expérience de la beautée est différent pour chacun, et donc incompréhensible et incommunicable

-

En tant que la beauté relève d’une expérience suprasensible, seul l’artiste peut la produire, au-delà de la nature

- L’œuvre d’art manifeste une autre finalité que la sienne : celle du monde

- L’œuvre d’art est certes celle d’un artisan compétant, mais qui demande plus aux choses et qui les révèle

- L’expérience de la beauté pousse à faire celle de la vérité

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