Lawrence d'Arabie

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d’Arabie

genre : épopée historique

personnages : Thomas Edward Lawrence

Le temps : 3h36

Action représenté : 3.04

Début du film : mort de Lawrence en moto en Angleterre, son enterrement avec différents hommes politiques présents. Suite, début de son histoire en orient, au Caire on l’envoie en mission en Arabie.

Son guide l’accompagne dans le désert pour aller voir le chef Bédouins qui lutte contre les Turcs qui sont les alliés de l’empire allemand.

Les grands moments sont l’attaque d’Aquaba, quand les avions Turcs attaquent le camp du chef Bedouin qui ne peut pas riposter. La scène ou Lawrence exécute un allié Bédouin qui a tué un homme. Cette scène va le transformer en tueur acharné. Alternance entre des scènes calmes, représant Lawrence s’assimilant au peuple et entre des scènes de guerres de camps. La scène à Damas ou tous les chefs de camps décident de l’organisation du pays et qu’ils ne parviennent pas à trouver un accord.

La fin : Le départ de Lawrence vers l’Angleterre. On sent Lawrence complètement changé, il déteste ce pays. La fin est fermé car nous savons dès le début qu’il décédera à l’age de 46 ans. Fin entrouverte.

Le rythme lent hyperboles, allégories, pléonasme, chiasme. Alternance entre temps de guerre et temps de repos.

Deux facettes du flim, les scènes de dialogues entre les principaux personnages et les scènes de guerre.

Le Cadrage : Tous types de plan qui font un film très riche. Ils portent l’attention du spectateur sur la scène d’action. Couleurs chaudes de l’Arabie, le sable, le soleil, les villes…

Quand Lawrence porte l’habit typique des Bédouins, les attaques surprise des trains et les executions répétitives montrent une symbolique de la guerre en Arabie dans ce film, elles se déroulent vers la moitié du film avec un effet dévastateur sur Lawrence qui prendra gout a la torture et aux massacres.

Les différents plans : Décors de la ville et du désert, les canyons et les vallées, chaque apparition des personnages est valorisé par un type de plan particulier qui insiste sur sa valeur dans l’histoire, des plans moyens lors des discutions entre les membre des clans ou lors de l’exploration du territoire plan américain lors des scènes importantes du film.

Gros plan : pour voir les expressions de Lawrence après les massacres ou lors des débats, discussion importants.

Le son : la BO très célèbre de Maurice Jarre. Durant les scène de guerre, musique rapide, son puissant qui montrent un aspect tragique.

Silende durant les scènes tragiques, les morts, les bléssés.

La musique s’adapte à chaque situation, elles montrent l’aspect guerrier, leader de Lawrence face aux Bédouins.

La traduction respecte le sens du film mais n’est pas vraiment retranscrite dans son intégralité et avec les mots exacts.

Le recit : C’est une amorce aux conflits modernes, les moments clés du film sont l’arrivé d’Omar Sharrif, l’éxécution d’un Bédouin par Lawrence et l’attaque d’Aqaba.

L’histoire est originale mais elle manque de fluidité et devient parfois moins comréhensible. Dans l’ensemble elle reste quand même proche de la réalité. Le réalisateur a voulu faire connaître les évènements répercutés en Arabie par la première Guerre Mondiale. Il veut montrer comment c’est adapté le personnage, et la façon dont Lawrence c’est imprégné de leurs croyances et de leur mode de vie tout en menant un combat pour protéger la tribu des Bédouins.

Critique :

Lawrence d’Arabie est un film historique, proche de la réalité, relatant les événements de la première Guerre Mondiale en Arabie.

L’histoire débute en 1916 par l’arrivé de Lawrence au Caire, envoyé par l’armée anglaise pour organiser les assauts en Arabie. A travers des paysages désertiques qui introduisent un nouveau genre filmique, ce film est rythmé par des combats sanglants où Lawrence évolue comme officier et chef Bédouin.

Ce film est un classique du cinéma du 20ème siècle, la bande son est exceptionnelle et renforce le côté épique. Il apporte une nouvelle vision de l’Asie mineure avec des moments forts, lorsque Lawrence tue un bédouin ou lorsqu’il achève un homme durant l’attaque d’un train.

Ce film a été réalisé par un des plus grands réalisateurs du cinéma, David Lean, connu notamment pour avoir réalisé Le pont de la rivière Kwaï et Docteur Jivago. Il a fait en sorte de donner un coté charismatique et mystérieux aux personnages, il fait un hommage à Lawrence d’Arabie en recréant son récit à travers une épopée malgrè les difficultés de tournages provoqués par les tensions reignant en Arabie mais aussi par le changement climatique, la chaleur éprouvé pour les acteurs, habitués au climat européen.

Le film aura eu le mérite d’offrir un nouveau regard aux européens sur le monde oriental.

Nous avons trouvés ce film grandiose pour la grandeur et la beauté des paysages, sa mise en scène, elle montre un autre style éloigné des combats au front. Le caractère énigmatique des personnages nous a laissé perplexe.

Il sera instigateur de la situation géo-politique actuelle règnant dans les pays arabo-musulmans.

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