Développement durable

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Pour améliorer les conditions de la ville de Beyrouth, il est essentiel et indispensable de trouver des solutions qui aideront à faire de la capitale libanaise une ville durable.

Economiquement, il faut premièrement atténuer certaines tensions politiques qui affaiblissent les capacités économiques de la ville. Diminuer les importations et les remplacer par la production locale, moins chère, est aussi une solution envisageable pour faire marcher de nouveau les activités économiques et encourager les gens à acheter plus ce qui va enrichir la ville. Cette action va alors donner aux Libanais de nouvelles chances pour travailler, par transitivité diminuer le chômage. Mais aussi, suite aux concernes des Beyrouthins à propos des logements, il faut construire des habitats de plus petites superficies pour diminuer le prix du mètre carré et par suite encourager les habitants de la ville à acheter plus. Enfin, le secteur public, appartenant donc à l’Etat, doit être plus présent et avoir un rôle efficace quotidiennement pour fournir à la société les besoins de base (comme l’électricité, l’eau, les écoles publiques…) et par conséquent limiter le recours au secteur privé qui est très cher pour la majorité des habitants.

En ce qui concerne la société, il faut penser à créer des plans de retraite. Pour diminuer le chômage, on peut créer de nouvelles filières techniques pour diversifier le choix des emplois ainsi que d’inciter et encourager la population à embaucher des syriens dans les emplois que les Libanais refusent de faire. Et pour limiter la mendicité et les inégalités sociales, on peut créer un organisme qui a pour but de mettre les enfants abandonnes dans des structures d’accueil et de prendre soin d’eux. En ce qui concerne les routes, celles-ci doivent être améliorées dans le but de diminuer le chaos. L’Etat doit aussi gérer l’afflux et l’entrée illégale des refugies syriens au Liban et la sensibiliser des moyens de contraception dans le but de contrôler la croissance démographique qui est en train d’augmenter sans cesse.

Afin de faire de Beyrouth une ville durable, diminuer la pollution de l’environnement, augmenter les espaces verts et essayer d’améliorer les aspects de la ville est nécessaire. Il faut alors renouveler les infrastructures ainsi que utiliser des énergies renouvelables comme l’énergie hydraulique, éolienne ou même solaire pour diminuer la pollution du sol. On peut également créer des usines dans le but de traiter, recycler et réutiliser les déchets industriels et ménagers et donc mettre fin à la crise d’ordures.. Dans le même ordre d’idées, vu que les Libanais ne profitent pas de la quantité de pluies qui tombe chaque année, on peut traiter les eaux de pluies et les réutiliser. Mais aussi, la multiplication des espaces verts à l’intérieur de la ville est une action très importante pour réduire la pollution du sol. Encourager l’utilisation des moyens de transports alternatifs (comme les transports en commun et les vélos…) et le covoiturage est aussi une solution qui faut prendre en considération ainsi que la mise en place d’un système qui limite le nombre de voitures en circulation peut faire de la ville de Beyrouth une ville verte ainsi qu’écologique. Cependant, avant tout cela, il faut sensibiliser la population de Beyrouth et l’avertir des dégâts qu’elle pourra causer si elle continue d’agir de cette façon. Alors, la mise en place de lois qui doivent être respecter par les habitants est important car sans lois et règlements rien ne se réalise. Ce qui veut dire que toute personne qui ne respecte pas les lois doit être sanctionnée et punie.

Somme toute, Beyrouth semble ne pas être une ville durable à cause de nombreux problèmes présents dans la ville. Que ce soit au niveau social, économique ou environnemental ils l’empêchent de devenir une ville durable. Il faut alors penser à prendre de nouvelles initiatives qui contribueront au fait de faire de la capitale libanaise une ville durable. Chaque personne doit prendre de nouvelles décisions dans le but de protéger sa ville parce que l’amélioration de son pays débute avec l’amélioration de soi-même avant tout.

Beyrouth fait écho à la ville de Vancouver, 3e métropole canadienne située sur la côte Sud Est du Canada qui a adopté un plan d’action dont l’objectif est de faire de Vancouver la ville la plus verte du monde d’ici 2020, c’est-à-dire qu’elle va adopter des moyens écologiques tout en attirant une grande densité de population. La capitale libanaise pourrait-elle alors se transformer et ressembler de plus en plus à la ville de Vancouver si on applique les solutions

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