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Une vie, Maupassant

Par   •  17 Novembre 2018  •  1 505 Mots (7 Pages)  •  536 Vues

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que le restant de sa vie ressemblerait à cela et qu’il fallait qu’elle l’accepte de mieux qu’elle pouvait.

Pendant longtemps Jeanne eu beaucoup de liberté et envisagé de l’utiliser, elle avait des passions mais n’a jamais pu e profité amplement .

Jeanne avait d’autres projets pour elle concernant son avenir, mais elle ne pourrait jamais les réaliser selon elle car on lui a pris sa liberté et fût obliger de les oublier quand elle se maria. Elle avait pleins d’espoirs, cependant ils s’étaient tous envolés, avaient entièrement disparus « fermait la porte aux espoirs indéfini » (v.13-14) cela montre ses pensées, elle ne croyaient plus à rien, on peut voir une antithèse entre espoirs et indéfini car c’est deux mots se contredisent, l’espoir est quelque chose qui comportent pleins de rêves, une ouverture alors que indéfini est tout les contraire, c’est quelque chose de fermé, fini et c’est ce que pensait Jeanne sur sa vie désormais. Elle abandonnait tout, elle sentait que sa vie n’était plus que réduite à être une épouse et rien d’autre, elle ressentait «  un affaissement de ses rêves » (v.18) cela prouve qu’elle en avait mais qu’elle avait arrêté entièrement d’y croire et pensait qu’il était mieux d’y renoncer plutôt que d’essayer de les réaliser sachant pertinemment qu’on ne lui laisserait pas se plaisir, elle ne voyait pas le but de se battre pour se qu’elle voulait mais à cette époque les femmes ne pouvait pas s’offrir se luxe.

Bien que la vie de Jeanne soit misérable certaines choses la font sortir de cet éternelle désespoir dans lequel elle se morfond.

C’est à partir du vers 20 que le thème du texte dans cet extrait change, le sujet n’est plus tout à fait le même, il s’agit de la nature désormais. La nature occupe une place très importante dans sa vie et c’est une des rares choses qui arrive à lui faire oublier durant un court instant sa vie qui ne lui correspond pas. Cela lui rappelle les promenades qu’elle allait faire avec sa mère après avoir manger. Elle connait les moindre recoins de sa campagne de Normandie et cependant c’est comme si elle lui était étrangère dorénavant « Étaient-ce la même campagne, la même herbe, les même arabes qu’au mois de mai ? » (v.22-23) cette répétition de « même » montre que Jeanne a passé beaucoup de temps dans ces lieux. Par la suite on peut constaté qu’il y a une autre répétition cette fois si en « où », « Où flambait les pissenlits, où saignaient les coquelicots, où rayonnaient les marguerites où frétillaient » (v.25-26) cela prouve encore plus que la nature est quelque chose que Jeanne aime beaucoup et dont elle ne pourrait pas se passer, cela lui apporte un peu de bonheur ainsi que du réconfort. On retrouve le champ lexical des éléments de la nature (plantes, fleurs,…) « herbe, arbres, feuilles, gazon, pissenlits, coquelicots, marguerites, papillons jaunes » (v.22-27) ce qui nous montre la place que cela occupe chez elle, on pourrait penser que chez chaque femmes de 19ème siècles vivant dans un mariage sans amour et sans avenir chaque femme cherche à combler se vide à l’aide d’une passion et pour Jeanne ce serait son intérêt pour la nature, qu’elle entretient depuis plusieurs années déjà.

On peut en conclure que la vie des femmes au 19ème siècles était loin d’être une vie idéale que tout le monde auraient souhaité avoir bien qu’il s’agissait des classes sociales très élevées tels que la noblesse et l’aristocratie. Ces femmes étaient bien misérable et horriblement seules dans un monde dans lequel rien ne leur était accordée. On les traitaient d’une façon irrespectueuse les laissant abandonner tout ce qu’elles aiment et ce qu’elles auraient voulus faire durant leur vie dans l’unique but de combler le manque dans la vie d’un homme. Cela montre bien l’inégalité qui régnait encore à cette époque envers les deux sexes. Nous pouvons comparer se roman à une autre roman nommé « Mme Bovary » écrit par Flaubert en 1857 qui est basé sur le même genre que « Une Vie » c’est pourquoi le roman de Maupassant fut longtemps critiqué sur le fait qu’il se rapprochait trop de celui d Flaubert. Cette oeuvre raconte l’histoire d’une femme rêvant elle aussi d’une vie de princesse mais qui au contraire se retrouve mariée à un homme très simple donc elle se détache au fil du temps pour finalement ne plus l’aimer du tout. Au cours de sa vie, les déceptions s’enchaînent pour qu’elle finisse tellement désespérer par le parcours qu’elle a mené, q’elle décide de se suicider pour y mettre

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