Princesse de Clève, Mme de LaFayette

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8-Importance de l’affaire « ne trouvait presque rien… » l.26 « la voyant dans sa 16e année, elle voulut la mener a la cour » l.27 utilisation du gérondif temps des verbes démontrant l’urgence de l’affaire ainsi que la décision soudaine qu’il est temps de la marier.

Cet incipit dévoile les enjeux du roman. Comment Mlle de Charte appliquera les préceptes de sa mère dans sa vie conjugale ? Arrivera telle à garder sa vertue ?

2/ A) Préparation a la vie martiale.

9-La cour lieu de beauté et de bon gout « puisqu’elle donna de l’admiration… belle personne »l.2-3 verbe d’intensité « si » insiste, rencontrer de belle personnes= habitude.

10-Cultivé pour avoir un bon mari noble. « Travaillant pas seulement à cultiver sont esprit et sa beauté » conjonction de coordination « et » ne m’est pas sur le même plan beauté et son esprit = trouver un bon marie a la cour.

11-M’est en garde sa fille « elle lui contait le peut de sincérité des hommes » l.16 verbe contait est la pour la mettre en garde.

Conclusion : Ce portrait de Mlle de Chartres laissé présagé un destin exceptionnel car il la présente comme l’incarnation de la perfection pas « beauté parfaite » sa pureté et sa vertue venant de son éducation. Sa mère a donné tout son énergie pour la préparer a la vie a la cour inculquer les valeurs de « l’honnête femme ». Cependant son jeune âge son manque d’expérience, mondaine et conjugal lui annonce un destin tragique. Se mariera avec le prince de Clève mais tombera amoureuse du Duc de Nemour, elle ne cèdera jamais a sa tentation et sera fidèle. Cette œuvre me fait penser au tableau les menimes de Diego Delazquez « Demoiselle d’honneur » car les protagonistes des 2 œuvres sont toute deux blonde, attire le regard par leur blancheur, font parti de la vie a la cour, et elles sont nobles.