Le port

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La deuxième partie du texte repose sur les impressions du poète « le plaisir mystérieux », « ambition », « curiosité » .

On remarque également la dimension architectural avec les mats les cordages les formes élancées des bateaux.

C'est une atmosphère de lenteur de légèreté. L'imprssion qui se dégage est la tranquilité, le rêve, l'évasion et la beauté.

A quoi aspire le poète ?

I- Marine poétique

A- Un décor marin

B- Texte descriptif banal non pittoresque

C- Les jeux de rythmes de sonorités

II- La dimension picturale

A- L'impressionnisme

B- Dimension architecturale

C- Une atmosphère agréable

III- Les aspirations du poète

A- Un idéal d'évasion

Dès la première ligne nous rencontrons le terme port qui est tout de suite symbolique. Il évoque la libération le départ pour un pays lointain.

Le ciel symbolise le rêve dans les moments difficiles de la vie. Ce sentiment s'intensifie avec « l'architecture mobile des nuages », un lieu sacré où il pourrait se reposer des fatigues, des luttes de la vie.

Le scintillement des phares évoque l'espoir pour l'homme le guidant dans la tempête les tumultes de la vie.

L'évocation des navires concrétise ce désir d'évasion, l'espoir de partir. Ceux-ci aux formes élancées permettent de satisfaire ce besoin d'aventure de briser la routine du poète.

B- La quête du bonheur

l'âme du poète est envahie par la souffrance. Malgré une âme fatiguée des combats de la vie, l'homme perçoit l'enchantement du prisme lorsqu'il dit « Merveilleusement propre à amuser les yeux sans lasser ». Il exprime la suprême vision des choses de l'au-delà inaccessible aux hommes de ce vivant. Il exprime ses profonds désirs qui sont l'amour du voyage et sa pensée du mal et de la souffrance. Il voudrait changer le monde.

Le poète introduit une atmosphère mystique (religieuse) avec les termes « ampleur », « architecture » qui pourrait faire référence à la vision grandiose d'une cathédrale gotique. Les prismes peuvent évoquer les vitraux qui laissent passer les rayon de soleil.

Dans ce texte le registre du lyrisme domine.

Baudelaire imagine un idéal de beauté d'émerveillement mais aussi de mystère.

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