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Le personnage de roman cas

Par   •  19 Février 2018  •  1 187 Mots (5 Pages)  •  586 Vues

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Pour finir, la bataille est tout de même représentée d’une façon étrange. Par exemple tout d’abord cela est un peu à cause de Fabrice car le point de vue est interne comme nous le prouvent les verbes de perception, « vit » (l.2), « remarqua » (l.5) « entendit » (l.6) et « regarda » (l.8) on a presque l’impression d’être dans le personnage de Fabrice. En plus il y a aussi les verbes de penser qui nous mettent en immersion dans l’action comme les verbes, « songer » (l.6), et « sembla » (l.9), le problème de ces verbes sont qu’il nous laisse pas avoir notre propre point de vu sur la bataille et que l’on voit tout et ressent tout par Fabrice et cela dénature les caractéristiques propre d’une guerre. On a aussi un manque d’héroïsme, avec la mort pathétique des soldats « deux hussard qui tombaient atteint par des boulets » (l.7-8), on les citent très brièvement et après on passe tout de suite à autre chose, il y a aussi le personnage du maréchal qui est décrit de façon péjorative « très blond avec une grosse tête rouge » (l.22) , on en déduit qu’il doit faire froid grâce à l’adjectif « rouge », on peut presque s’imaginer dans notre tête le face du maréchal rouge et presque entrain d’être bruler par le froid, cela montre qu’il n’est pas en très grandes forme et donc pas favorable pour combattre l’ennemie. Malgré cela, il y a tout de même de la violence et des caractéristiques propre à la guerre, « cheval tout sanglant » (l.9), « débattait » (l.9), « le sang coulait » (l.11), la répétions du mots « sang » montre bien que c’est horrible et que sa ne doit pas être très beau à voir. On a aussi le champ lexical de la guerre, « boulets » (l.8), « l’escorte » (l.8), « militaire » (.13), «la batterie » (l.16), « coup de canon » (l.17), « les généraux » (l.19) et « le maréchal » (l.21), comme on peut le voir ce champ lexical est très abondant, on a le mot « boulets » qui est répété trois fois, sa montre que l’on est bien au centre de l’action. A la suite de cette attaque, il y a une forme de chaos qui vas se former et commencer à tout chamboulé, les chevaux qui se débattent « sur la terre labourer » (l.9-10), ensuite leur sang coulent « dans la boue » (l.11), on a presque l’impression d’être au Moyen Age lors du pillage d’un village avec toute cette boue, on pourrais aussi imaginer que l’on se trouve sous un torrent de pluie lors de cette bataille.

En conclusion, avec tout ces évènements et par la focalisation interne, Stendhal donne une vison de la guerre à travers les yeux de Fabrice, donc on vois plus les détailles et non pas les chose importantes donc cela dénaturé un peut la violence de la bataille qui est tout de même une ses caractéristiques les plus importantes. Il y a aussi un manque d’héroïsme de la part du maréchal qui n’a pas du tout la forme d’un héros et aussi de la part de Fabrice qui na pas confiance en lui. Malgré tout cela il y tout de même une forme de chaos qui est présente et qui permet de nous rappeler que l’on se trouve dans un bataille.

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