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L'image de la femme dans Le village de la honte de Guefala Soro

Par   •  28 Septembre 2018  •  1 020 Mots (5 Pages)  •  3 882 Vues

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Malgré tous ces antagonismes, on constate que ces individus coexistent, qu’ils se rencontrent et coopèrent pour former une unité. Par exemple ils créent ensemble des structures politiques de « vivre ensemble » telles que la commune, le département, la région, ou encore l’Etat. Cette unité se manifeste également dans la vie associative, et dans le sentiment d’appartenance et de destin commun qui lie tous ces individus.

Le lien social, c’est cette cohésion qui nous permet de vivre, de produire et de créer ensemble. Cette appartenance nous confère des devoirs mais aussi des droits, et nous en attendons naturellement entraide, solidarité et sécurité.

IV/ L’EXCULSION SOCIAL DANS LE VILLAGE DE LA HONTE

Kodongo, surnommé l’enfant-adulte à cause de sa curiosité et de son raisonnement. Il est fils du chef de Kodara. Kodongo décide d’aller sur la lune pour voir comment le monte se porte(P14). Le prince de Kodara eu cette idée d’aller voir la lune après avoir entendu un adage qui dit que « le chat a attrapé la lune », juste pour décrire un éclipse solaire. En dépit des conseils de sa Mère et son Père, le Roi Péladio afin qu’il abandonne cette idée, le jeune Kodongo était décidé à effectuer ce périple. Kodongo, était âgé de cinq ans. Son âge ne sera pas un obstacle dans cette quête du savoir poussé par la curiosité. Sous l’œil de ses parents, le jeune Kodongo entame son voyage en vu de retrouver la lune.

Dans son voyage, l’enfant –adulte comme surnommé, Kodongo entra dans un premier village du nom de Nabondala, ou les us et coutumes étaient d’une bizarrerie, parce qu’on y trouvait dans cette contrés des personnes qui n’avaient plus aucun droit et écartés de la société villageoise du fait de leurs péchés ou des abominations commissent. En effet certains étaient atteints de maladie jugé incurable par les guérisseurs et d’autres bannis du fait d’être homosexuel ou pour avoir eu des rapports sexuels avec plus âgé que soit. Toutes ses personnes jugées indignes étaient regroupés dans un endroit appelé (Village de la honte) loin de la société villageoise. (P38-39)

V/ CONSEQUENCES

L’exclusion sociale, c’est une rupture de ce lien social : certains individus, et parfais des groupes, n’arrivent plus à vivre de façon normale au sein de la société, ils perdent pied, ils perdent leur travail, leurs relations, leurs logements.

Du point de vue sociologique, l’exclusion est un affaiblissement ou un déchirement du lien social. Du point de vue individuel, l’exclu a le sentiment de ne plus avoir sa place dans la société, il n’est plus reconnu, il est privé des moyens de vivre normalement, et en premier lieu d’argent.

L’exclusion sociale n’est pars un statut, ou un état, mais d’abord un processus dynamique de mise à l’écart dans lequel certains individus ou certaines familles sont entraînés et se débattent.

VI/ CONCLUSION

Les us et coutumes sont se qui caractérisent les peuples africains dans toutes leurs diversités, elles sont sources de richesses pour une bonne marche et structuration des sociétés Africaines. Cependant elles portent en leurs seins des éléments qui fragilisent la cohésion sociale au sein des communautés africaines. Acceptons conseils et changements pouvant nous conduire à éliminer les défauts de nos traditions pour construire une société favorable à tous.

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