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Au XXème siècle, l’homme et son rapport au monde à travers la littérature et les autres arts.

Par   •  20 Décembre 2017  •  999 Mots (4 Pages)  •  512 Vues

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Document 3 : Mais en évidence l’horreur des mutilations physique et leur conséquence.

- Il crée des images choquante, voir répugnante.

- Il montre que la vie continue autour d’eux, avec les journaux et les jeux de carte.

- Mais ils sont éclairés par la mort.

- Il inscrit dans leur visage ce qui ne pourrons plus avoir ; l’amour, le respect et la place dans la société.

- L’auteur choisie de s’inspiré des techniques cubiste pour renforcer l’impression de déstructuration.

- La présence de la croix de guerre renforce le pathétique et le sordide : c’est tous ce qui ont obtenue en échange de leur sacrifice.

Conclusion : Lequel de ces document exprime le plus l’horreur de la guerre ? Le document 3 évoque le mieux l’horreur de la guerre en décrivant les soldats qui ont survécu durant cette guerre, c’est une représentation pictural sous forme de cubisme, on montre alors la vie qui continue dans des conditions physique déplorable.

Hymne à la liberté :

- A qui s’adresse le poète ?

Le poète s’adresse à ces frères en prison, ces frères qui sont proche, dans ces opinions.

- Dans quelles intentions ?

Dans l’intention de parler aux personnes emprisonnées (de guerre, politique…) de parler aussi des personnes qui sont également torturé. Il s’adresse au prisonnier de toutes les guerres à n’importe qu’elle génération. De témoignée la souffrance et de leur rappeler qu’on ne les oublié pas « les yeux brulés les membres enchainés le visage torturé troué les lèvres mutilés ».

Métaphores : « vous êtes ces arbres, violent et torturé », on vous torture peut être mais vous en ressortez plus fort.

2e intention dire au prisonnier que leur souffrance n’est pas vaine et que les tyrans serons vaincus « Par-dessus les tyrans enroués de mutismes »

Champs lexical de la liberté et de l’espoir :

- Votre regard d’homme vrai est sans limite.

- La respiration des monts très bleus.

- Les astres dans la liberté de leur essence.

- Les libres lointains de la prière.

- Qui est la liberté effroyable de Dieu.

Oxymore : consistant à réunir deux mots en apparence contradictoires.

Champs lexical de la violence, torture :

- Prison

- Brulés

- Enchainés

- Troué

- Tyran

- Mutismes

- Mutilées

- Violent

- Torturé

- Terrible

L’anaphore à la fin du poème transcende l’univers tyrannique, cette opposition entre les deux univers d’un coté l’oppression et de l’autre coté de l’espoir.

- Quelle information sur le ton du poème fournit le titre du recueil ?

On n’est dans le ton fort d’une dénonciation, un cri de colère, la gravité du propos implique l’indignation.

Manipulation, propagande perfusion dans la veine et fausse impression de liberté.

Mémoire de tristesse.

Comment dans cette chanson Saez exprime-t-il son rapport au monde ?

Dans cette chanson Saez exprime son rapport au monde en évoquant une mélodie qui exprime un sentiment de tristesse et le retranscrit dans la chanson « comme un éclat de rire vient consoler tristesse » Contre la vie qui va qui vient puis qui s’éteint, Contre l’amour qu’on prend qu’on tient mais qui ne ce tient plus…

Il exprime également un sentiment de danger, il appelle la jeunesse a ce levé a ce révolté.

Il

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