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Rapport de stage d’observation en entreprise

Par   •  27 Novembre 2018  •  2 369 Mots (10 Pages)  •  687 Vues

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b)Mardi

Mardi matin, je suis arrivée comme tous les jours à 9h. Avec Nesrine, nous avons pu assister à une réunion du service Goldseal. Le Goldseal, c’est un service récent chez GE qui consite à remettre en bon état le matériel qui revient pour le revendre à ceux qui n’ont pas les moyens de se payer une machine neuve (l’état de la machine Goldseal étant aussi bien qu’à neuf).

Durant cette réunion, ils ont observé et parlé des machines qui revenaient, de ce qu’ils allaient en faire et de l’endroit où elles seraient envoyées.

Opposé au Goldseal, il y a des « brokers » qui proposent le même service qu’eux, mais de mauvaise qualité ce qui peut parfois être dangereux pour le patient.

Les brokers font le strict minimum pour les machines tandis que le Goldseal les remet à neuf.

Nous avons ensuite visité l’endroit où les machines sont reçues et remises en état.

[pic 4]

c)Mercredi

Mercredi matin, j’ai rencontré Wendy, une femme qui travaille au sourcing qui nous a expliqué la régularité d’achat des pièces de mammographe.

Pour créer un nouveau mammographe ils mettent 2 à 3 ans puis le produisent en général pendant environ 10 ans. Mais comme il y a une garantie de 10 ans sur l’ancien modèle, ils sont obligés de continuer d’acheter des pièces de rechange.

Il y a trois gammes de mammographes, bas de gamme, gamme moyenne et haut de gamme, ainsi, il existe des mammographes pour chaque budget et exigences.

[pic 5]

Le nouveau modèle de mammographe, Pristina, qui sortira très bientôt

Ensuite, j’ai rencontré Fabien, qui s’occupe de vérifier la qualité du fournisseur et de ses pièces (parce que GE assemble plus qu’il ne fabrique des pièces).

Après cette visite, j’ai assisté à une réunion EHS durant laquelle ils ont parlé des différents risques au quotidien au travail à GE, dans les différents établissements.

Puis j’ai mangé à la cantine avec Nesrine, Gabriela et ma tutrice.

Ensuite, nous sommes allées au Service Center avec Nesrine, plus précisément au centre d’appel du SAV. Il est composé de 35 personnes (coordinateurs) dont deux s’occupent de l’accueil au téléphone tandis que les autres sont tous répartis certains dans le Sud, d’autres dans le Nord, l’Est, l’Ouest ou le Centre de la France. Ils doivent gérer les problèmes des machines d’imagerie médicale au téléphone en discutant avec le client. Si il y a possibilité de le faire régler à distance par un ingénieur, ils le font, sinon, l’ingénieur explique le problème et le composant à changer. Les coordinateurs du SAV vont donc mettre un technicien sur le cas. Les coordinateurs doivent aussi gérer les priorités en fonction des pannes, rappeler plus ou moins rapidement en fonction du contrat (VIP…) ou parfois prendre rendez-vous pour une maintenance préventive.

d)Jeudi

Le matin je suis allée au centre de visite client qui s’occupe de tous les clients internationaux (radiologues, manipulateurs des machines…) qui viennent pour observer les machines, discuter avec les chefs de produits qui pourront répondre à leurs questions, et généralement en acheter.

Il y a plusieurs très belles salles de réunion, de déjeuner et de dîner dédiées aux clients où ils discutent avec les commerciaux des machines d’imagerie médicale.

[pic 6]

A droite de la photo, le show room où

certaines machines sont exposées

Ensuite, j’ai rencontré Lewis, qui travaille au programme Harvest. Le programme Harvest, crée il y a 5 ans, consiste à récupérer des pièces réutilisables sur des machines en fin de vie pour les revendre (pièces d’occasions). Ces pièces sont testées et mises à disposition des clients. Harvest a fait 7,6 millions de dollards l’année dernière.

Après être allée déjeuner, je suis allée visiter le département des applications avancées de mammographie où j’ai pu comprendre comment on repère un cancer du sein.

La femme fait sa mammographie, puis les radiologues observent l’image. Pour repérer un possible cancer, ils ont un filtre spécial pour enlever la glande mammaire de l’image car plus ou moins dense, elle peut empêcher de voir une anomalie car elle apparaît en blanc sur l’image. J’ai appris là bas que si jamais il y a quelque chose qui ressemble à un cancer ou une anomalie, des médecins doivent pratiquer une biopsie sur le sein de la femme en plantant une grande aiguille dedans pour prélever de la matière et l’analyser. Si le résultat de l’analyse dit malheureusement que cette personne a un cancer il y a ensuite plusieurs traitements qui s’offrent à elle. J’ai aussi appris que les hommes peuvent aussi avoir le cancer du sein, mais c’est plus rare (1 % des cancers du sein sont d’hommes).

J’ai aussi rapidement rencontré une personne qui faisait des recherches sur un moyen pour que la mammographie soit moins douloureuse à passer pour les femmes.

[pic 7]

Une mammographie

e)Vendredi

Le matin du dernier jour de stage, je suis allée aux applications avancées cardio-vasculaires où j’ai appris beaucoup de choses.

Tout d’abord, grâce à leur machine vasculaire, les médecins ont la possibilité d’avoir des images en direct. Mais les tissus mous sont plus facilement traversés par les rayons X que les os, par exemple les veines sont invisibles à l’écran, mais pour y remédier les médecins injectent un produit avec de l’iode dedans pour empêcher les rayons de passer et donc que l’on puisse voir tous les tissus mous.

Mais avec ce genre de machines il faut faire attention car les rayons X qu’elles délivrent peuvent créer un cancer si ils sont donnés en trop grande quantité, les médecins ont donc la possibilité de régler la dose de rayons avec cette machine.

On m’a expliqué que les opérations à coeur ouvert étaient très lourdes car il faut casser les côtes une par une, mais que certaines d’entre elles peuvent être

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